13
mars

Pour la huitième édition de la Journée française de l'allergie, le 18 mars prochain, l'Association Asthme et Allergies met l'accent sur l'importance d'une prise en charge précoce de la pathologie afin d'en limiter les complications. Le Cespharm vous propose des outils pour communiquer auprès de vos patients.

Sept ans. C'est le délai moyen qui s'écoule entre l'apparition des symptômes d'allergie et la première consultation médicale. Ainsi, près d'une allergie respiratoire sur deux reste non diagnostiquée en dépit d'une possible aggravation en l'absence de prise en charge. A ce jour, on compte en effet 15 à 20 % de formes sévères d'allergies respiratoires.

Face à ces constats, l'Association Asthme et Allergies focalise la huitième Journée française de l'allergie sur le thème de l'aggravation de la pathologie avec le slogan "Allergie, j'agis ! Pour éviter les complications". C'est au travers de rencontres interactives que l'association souhaite, cette année, sensibiliser les patients à cette problématique. Ces "tchats" mettront en relation les internautes avec des allergologues, une psychologue et une conseillère médicale en environnement intérieur. Pour cela, rendez-vous le 18 mars entre 12 h à 19 h sur le site Internet de l'Association Asthme et Allergies. Des témoignages de patients et de professionnels de santé ainsi que des informations notamment relatives au diagnostic, aux traitements et aux mesures d'éviction des allergènes seront disponibles, à partir du 18 mars, sur une plateforme web dédiée.

Pour accompagner cette Journée, le Cespharm met à votre disposition des affiches et des brochures pour informer vos patients et les inviter à ouvrir le dialogue notamment sur la pathologie et la pollution de l'air, extérieur comme intérieur.

13
mars

Pour promouvoir la brochure intitulée "Vieillir… et alors ?" et inciter au dialogue avec le pharmacien, l'Inpes et les régimes de retraite proposent l'affiche "Bien vivre son âge ? Avec plaisir !". Le but de cette communication ? Accompagner les jeunes seniors à l'approche de la retraite et au cours de ses premières années.

"Etre bien dans son corps, se nourrir l'esprit, rester en contact, veiller à sa santé"… Voici ce à quoi l'Inpes, en partenariat avec les régimes de retraite, souhaite aider les personnes âgées de 58 à 68 ans. Cette affiche, ainsi que la récente brochure "Vieillir... et alors ?" qu'elle promeut, ont été élaborées pour accompagner les futurs et jeunes retraités, autonomes et en bonne santé, dans une approche positive et globale du vieillissement. Au travers de conseils pratiques, paroles de professionnels et témoignages de jeunes seniors, la brochure prend en compte les dimensions physiologiques, psychologiques et sociales de cette période de la vie.

Pour vous aider à communiquer autour du jeune senior et de l'avancement en âge, le Cespharm propose une sélection d'affiches, de brochures à remettre au public et de documents d’information professionnelle.

Un deuxième volet de la communication sur le thème "Vieillir en bonne santé" est prévu par l'Inpes en juin 2014, notamment à travers une brochure intitulée "Bien vivre son âge". Celle-ci s'adressera aux sujets âgés plus fragilisés au-delà de 75 ans, à qui elle livrera des pistes pour continuer à prendre soin d'eux et rester actif physiquement et mentalement. Elle abordera plus particulièrement des problématiques telles que de l'aménagement du logement, le retour à domicile après une hospitalisation et la dimension psychologique liée aux décès.

03
mars

Durant tout le mois de mars, l’Institut national du cancer (INCa) lance une nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer colorectal. Il s’agit de sensibiliser les hommes et les femmes, quel que soit leur niveau de risque, à l’importance d’une détection précoce de ce cancer.

Le cancer colorectal est aujourd’hui, avec plus de 42000 nouveaux cas estimés en 2012, le troisième cancer le plus fréquent en France. Responsable de 17500 décès chaque année, il est également le deuxième cancer le plus meurtrier. Pourtant, détecté à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Cette année, la campagne lancée par l’INCa a pour objectif d’inciter les hommes et les femmes, quel que soit leur niveau de risque, à s’interroger sur le dépistage du cancer colorectal et à en discuter avec leur médecin traitant. Il s’agit de leur faire connaître les informations clés (antécédents familiaux ou personnels, signes d’alerte, …) à communiquer à leur médecin afin que ce dernier puisse déterminer leur niveau de risque et leur proposer la stratégie de dépistage adaptée. Le public est invité à consulter le site de l’INCa pour y trouver les éléments lui permettant de préparer la consultation avec son médecin.

Pour rappel, un programme national de dépistage organisé du cancer colorectal a été mis en place par les pouvoirs publics. Il s’adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans, asymptomatiques et ne présentant pas de facteur de risque particulier. Les personnes concernées sont invitées tous les 2 ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant.

Pour aider les pharmaciens à relayer cette manifestation, le Cespharm met à leur disposition l’affiche de la campagne ainsi que deux documents à remettre au public (carte postale, brochure d’information sur l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).

24
février

Les alcoolisations massives et rapides sont de plus en plus fréquentes chez les jeunes. Face à la croissance exponentielle du phénomène de "neknomination", le Ministère chargé de la Santé réagit. L’Inpes et le Cespharm proposent des outils pour permettre au pharmacien de communiquer.

La "neknomination", vous connaissez ? Il s’agit d’un défi lancé par un internaute à ses contacts sur les réseaux sociaux, pour les inciter à se filmer en buvant, d’une traite, un (grand) verre d’alcool. Une fois le défi relevé, chaque participant incite à son tour ses contacts à reproduire l’expérience. Cette pratique a causé cinq décès en Irlande et en Grande Bretagne.

Le concept dérive du tristement fameux "binge-drinking" (consommation massive et rapide d’alcool), auquel plus d’un jeune Français de 17 ans sur deux s’adonnerait aujourd’hui. Une page Facebook consacrée à la "neknomination" (le terme est issu de l’expression "to neck a drink" signifiant "boire cul sec") s’est ouverte en France le 10 février dernier. Deux semaines plus tard, plus de 27 000 internautes ont accordé une mention "j’aime" à cette page.

Face à l’ampleur du phénomène, le Ministère en charge de la Santé met en garde contre les dangers de ces pratiques d’alcoolisation massive. Il rappelle notamment que la consommation d’alcool constitue la deuxième cause de décès évitable après le cancer. A cette occasion, l’Inpes oriente vers le site Alcool-info-service.fr et met en avant sa brochure "Alcool, vous en savez quoi ?".

Le Cespharm met à la disposition des pharmaciens quatre affiches sur le thème de l’alcool et le "Guide pratique pour faire le point sur sa consommation d’alcool" édité par l’Inpes et destiné au grand public.

03
février

La Haute autorité de santé (HAS) vient de mettre en ligne trois fiches mémo destinées aux pharmaciens d’officine sur la dispensation des contraceptifs.

Trois fiches mémo portant respectivement sur la contraception hormonale orale , la contraception estroprogestative transdermique ou vaginale et la contraception d’urgence ont été élaborées par la HAS pour aider les pharmaciens à la dispensation de la contraception aux femmes et aux adolescentes.

Ces fiches rappellent les conditions de dispensation de ces contraceptifs et en précisent les particularités de la dispensation aux mineures. Elles détaillent les contre-indications et interactions médicamenteuses ainsi que les modalités d’administration de ces différentes contraceptions. Les trois fiches mettent l’accent sur le rôle du pharmacien et les conseils pratiques à délivrer aux femmes tout en insistant sur l’importance d’une mise à jour des connaissances et d’une formation de l’équipe officinale à la démarche de conseil et d’accompagnement en matière de santé sexuelle. Enfin, elles proposent une liste de ressources internet et des liens vers les textes réglementaires et les documents de référence.

Ces trois fiches viennent compléter une série de documents sur la contraception publiés par la HAS à l’intention des professionnels de santé : document de synthèse sur les méthodes contraceptives jugées efficaces par l’OMS, fiche mémo sur les conditions de prescription et les conseils en contraception, fiches spécifiques à différentes situations (contraception chez l’adolescente, chez l’homme, en post-partum ou après une IVG, contraception d’urgence…)

28
janvier

La Haute autorité de santé (HAS) publie des recommandations actualisées de bonne pratique sur l'aide à l'arrêt de la consommation de tabac. La HAS insiste sur le rôle des professionnels de santé de premier recours. Des outils pratiques sont mis à leur disposition.

 Les nouvelles recommandations de la HAS actualisent celles de l'Afssaps datant de 2003. Elles s'intéressent à toutes les étapes traversées par un fumeur dans sa démarche d’arrêt et détaillent les différents niveaux d’intervention des professionnels, du dépistage de la consommation de tabac au maintien de l'abstinence. La HAS insiste sur la nécessaire implication des professionnels de santé et recommande un accompagnement spécifique des fumeurs dans le cadre d'entretiens ou de consultations dédiés à l'arrêt du tabac.

 

La stratégie d'intervention recommandée repose sur un dépistage de l'usage du tabac et un conseil d'arrêt aux fumeurs systématiques par l’ensemble des professionnels de santé. L'accompagnement psychologique représente la base de la prise en charge du fumeur. Entretien motivationnel, soutien psychologique individuel et thérapies cognitivo-comportementales sont notamment recommandés. Chez les personnes dépendantes, un traitement médicamenteux doit être proposé, les substituts nicotiniques constituant le traitement de 1ère intention. D'autres méthodes peuvent être utilisées : accompagnement téléphonique, outils d'autosupport (site internet, support écrit…). Une fois l'arrêt instauré, la prise en charge doit s'orienter vers la prévention des rechutes. Les recommandations précisent la place des autres traitements, méthodes et stratégies utilisés dans le sevrage tabagique, comme la réduction de la consommation de tabac ou la cigarette électronique. Les spécificités de la prise en charge dans certaines situations particulières (grossesse, pathologies, hospitalisation…) sont également abordées.

 

Afin de renforcer l'action des professionnels de santé auprès des fumeurs et de les aider dans leur pratique, la HAS propose des outils pour chaque étape de la prise en charge de l'arrêt du tabac : questionnaires, algorithmes, échelles d'évaluation, fiches pratiques…

 

Le Cespharm met à la disposition des pharmaciens des documents à usage professionnel, des affiches et des brochures à remettre au public sur le thème du tabac.

28
janvier

A l’occasion de la prochaine édition de la Journée "Mission mains propres" qui se déroulera le lundi 5 mai 2014, le Ministère de la santé lance un appel à projets pour la réalisation de supports de communication autour de l'hygiène des mains. La commande des outils élaborés dans le cadre de la campagne est, par ailleurs, dès maintenant ouverte aux professionnels de santé.

Depuis 2009, la France s’est engagée au côté de l'OMS dans le défi mondial "un soin propre est un soin plus sûr" en participant chaque année à la Journée mondiale sur l'hygiène des mains "Sauvez des vies : lavez-vous les mains".

Cette année, le ministère chargé de la santé renouvelle son engagement auprès de l’OMS avec la campagne nationale intitulée "Mission mains propres" qui se déroulera le lundi 5 mai 2014. Cette manifestation vise à promouvoir l'hygiène des mains des professionnels de santé et des patients et favoriser la communication autour des soins et de leur sécurité. Les professionnels de santé et les structures intéressés peuvent d'ores et déjà s'inscrire sur le site du ministère de la santé pour marquer leur engagement dans cette opération.

Un appel à projet est ouvert à tous les acteurs engagés dans la promotion de l'hygiène des mains, pour la réalisation d'un support de communication (flyer, affiche, video) qui sera utilisé au niveau national. Les projets doivent concerner la qualité et la sécurité des soins ainsi que la communication "soignants – soignés" et "usagers – acteurs de santé" autour de l’hygiène des mains. Les supports sélectionnés seront diffusés sur le site du ministère de la santé. Les demandes de participation doivent parvenir à la DGOS avant le 14 février 2014.

Par ailleurs, le ministère de la santé met à la disposition des professionnels qui le souhaitent les outils de communication (affiche, brochure) élaborés dans le cadre de la campagne. Ceux-ci peuvent être commandés en ligne sur le site www.sante.gouv.fr jusqu'au 25 mars 2014.

15
janvier

L'Inpes et les régimes de retraite éditent une brochure "Vieillir… et alors ?" destinée aux futurs et récents retraités pour leur permettre de s'épanouir dans leur "nouvelle vie" et préserver leur santé. Le Cespharm met ce document à la disposition des pharmaciens.

Le passage et l'organisation de la retraite est une période charnière où se prépare le vieillissement et où de nouvelles habitudes s'installent. La brochure "Vieillir… et alors ?", élaborée par l'Inpes en partenariat avec les régimes de retraite, s'adresse aux jeunes retraités, autonomes et en bonne santé. Riche en informations pratiques, en conseils, en "paroles" de professionnels de santé, en messages de prévention élaborés avec l'appui d'experts scientifiques, elle s'inscrit dans l'approche globale et positive de la santé préconisée par l'Inpes. Elle doit permettre aux jeunes seniors d'adopter des comportements protecteurs pour une avancée sereine en âge.

Tenant compte des dimensions physiologiques, psychologiques et sociales des évolutions liées à l'âge, la brochure aborde de manière transversale le lien social et intergénérationnel, les fonctions cognitives, l'alimentation, l'activité physique, le partage avec les autres, la prévention de la santé...

Cette brochure est le premier support d'un programme d’information de l'Inpes et des régimes de retraite vers les retraités et leur entourage qui se déroulera tout au long de l'année 2014. Elle sera suivie d'une deuxième brochure pour les retraités plus fragilisés. Celle-ci abordera également les problématiques plus spécifiques des personnes entre 75 et 90 ans comme le logement, le retour à domicile après hospitalisation, les aspects psychologiques liés aux décès… Une série de 15 programmes courts vidéo, couvrant toutes les thématiques du Bien vieillir sera également réalisée.