17
décembre
A l'approche de la vaste campagne de communication de l'Ordre rappelant que le médicament n'est pas un produit de consommation courante et que la pharmacie ne peut être assimilée aux autres réseaux de distribution, le Cespharm propose une brochure qui met en avant le rôle du pharmacien. A vos commandes !

"La pharmacie n'est pas un commerce comme les autres". C'est le 11 janvier que sera donné le coup d'envoi de la campagne de l'Ordre national des pharmaciens visant à diffuser ce message.

Pour accompagner cette communication, le Cespharm vous invite à commander et à diffuser largement la brochure "Pourquoi est-ce important de parler avec son pharmacien ?" Celle-ci fera connaître au public l'importance du dialogue avec le pharmacien d'officine comme précieux élément de sécurité autour des traitements.

Cet outil est un complément essentiel à la campagne, puisqu'il met en avant :

- la disponibilité, la proximité et le rôle du pharmacien dans la sécurité des patients ;
- l'importance de la compréhension par le patient, au sortir de l'officine, de l'enjeu et du bon usage des traitements ;
- des réponses à des questions fréquentes, en lien notamment avec l'achat de médicaments sur Internet ou la fiabilité des sources d'information médicales.

C'est le moment de passer commande pour optimiser votre communication dans le cadre de la campagne à venir !

16
décembre
A l'occasion de la Journée nationale de lutte contre l'hypertension artérielle, le Comité français éponyme présente les résultats de son baromètre 2015. Conclusions : la pratique de l'automesure tensionnelle est en progression, et avec elle, le bon contrôle de la pathologie.

 

Si l'objectif de 70 % d'hypertendus contrôlés – initialement affiché pour 2015 dans le plan national d'actions AVC – n'est pas atteint, le nombre de patients dont l'HTA est bien contrôlée sous traitement est en nette augmentation. Il atteint en effet 55 % en 2015 alors qu'il n'était que de 38 % en 2004 (49 % en 2010) selon les résultats du dernier baromètre FLAHS*, tout juste rendus publics par le Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle (CFLHTA).

 

Cette vaste étude conclut par ailleurs que près de la moitié des patients traités pour une HTA possède un autotensiomètre utilisé suivant la "règle des 3", contre 36 % en 2010. Le CFLHTA souligne que l'automesure tensionnelle est un élément essentiel de suivi pour l'adaptation du traitement afin d'atteindre les objectifs tensionnels (< 135 / 85 mmHg en automesure). Dans ce cadre, le Cespharm vous propose de télécharger et d'imprimer la Feuille de relevé d'automesure tensionnelle, un outil d'aide au suivi et à l'éducation de vos patients hypertendus.

 

Côté observance, des progrès restent nécessaires puisqu'au sein de ce baromètre, seuls 62 % des hypertendus traités ont déclaré respecter la posologie et ne jamais oublier de prendre leur traitement. Le CFLHTA souligne notamment l'importance de l'éducation thérapeutique pour améliorer ce point indispensable à la réussite du traitement. Par ailleurs la moitié des patients souffrant d'HTA serait en surpoids et 10 % continueraient de fumer.

 

Pour vous accompagner dans votre mission d'information et d'éducation des patients, le Cespharm met à votre disposition de nombreux documents en lien avec l'hypertension artérielle. N'hésitez pas à passer commande.

 

 

*French league against hypertension survey (étude du Comité de lutte contre l'hypertension artérielle)

04
décembre

A travers sa campagne sur l'interruption volontaire de grossesse, le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes souhaite informer, déculpabiliser et rappeler aux femmes leur droit à disposer de leur corps. Le Cespharm met à votre disposition l'affiche de cette campagne et vous présente les outils proposés sur le www.IVG.gouv.fr

Informer les femmes sur leurs droits en matière d'IVG et les moyens de les exercer. Tel est l'objectif de la campagne menée par le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits de femmes dans le cadre du Programme national d'action pour améliorer l'accès à l'IVG. Un moyen également d'inviter au dialogue et de permettre un choix éclairé entre une méthode instrumentale ou médicamenteuse.

Après la mise en place, fin septembre 2015, d'un numéro d'information national (0800 08 11 11), anonyme et gratuit, pour les personnes en demande d'informations, de conseils, de soutien et/ou d'orientation sur l'IVG, la contraception et les sexualités, le site Internet IVG.gouv.fr s'enrichit de multiples outils, notamment :

- une affiche disponible à la commande auprès du Cespharm ;

- deux infographies, présentant pour l'une le parcours à suivre lorsque l'on souhaite interrompre une grossesse, et pour la seconde, les caractéristiques des deux méthodes d'IVG existantes ;

- une brochure d'information sur l'IVG médicamenteuse à domicile, que vous pouvez télécharger et imprimer pour vos patientes depuis sur le site du Cespharm ;

- 30 vidéos questions/réponses dans lesquelles interviennent des professionnels de santé ;

- un Dossier guide IVG (50 pages).

Une "boîte à outils" complète pour une information fiable sur un sujet parfois difficile à aborder. En complément, les brochures grand public sur la contraception du catalogue du Cespharm restent à votre disposition.

03
décembre

L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) propose une nouvelle collection de brochures d’information accessibles au plus grand nombre. Son objectif ? Mettre à disposition une information en santé facile à comprendre et utilisable par tous, quels que soient les capacités, l’âge, la langue ou la culture.

Baptisée "Pour comprendre", cette collection est notamment destinée aux personnes illettrées, peu à l’aise avec la langue française ou déficientes intellectuellement. Elle s’adresse également aux personnes âgées ou malvoyantes qui ont besoin d’une charte graphique adaptée (en particulier texte en gros caractères).

Pour faciliter la compréhension de leur contenu, les documents développés par l’Inpes présentent les caractéristiques suivantes : peu de texte (messages essentiels uniquement), gros caractères, vocabulaire et syntaxe adaptés, un dessin explicite pour illustrer chaque message.

Cette nouvelle collection comporte, pour l’instant, trois brochures consacrées respectivement au VIH-Sida, à l’arrêt du tabac et aux dangers du monoxyde de carbone. Celles-ci peuvent être téléchargées et commandées sur le site Internet de l’Inpes au sein de sa nouvelle rubrique intitulée "L’info accessible à tous". Identifiable depuis la page d’accueil, cette rubrique rassemble l’ensemble des outils élaborés à l’intention des personnes rencontrant des difficultés pour accéder à l’information (brochures "Pour comprendre", mais aussi documents en braille et/ou en gros caractères, vidéos en langue des signes ,….).

A terme, la collection "Pour comprendre" couvrira toutes les thématiques de santé de l’Inpes. Une nouvelle brochure portant sur la vie affective et sexuelle devrait être mise à disposition en 2016.

17
novembre

"Un geste simple peut vous sauver la vie", telle est la signature de la nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer colorectal menée par l’Institut national du cancer (INCa) pendant tout le mois de novembre.

Avec 42150 nouveaux cas et 17700 décès estimés en 2012 en France, le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent et le deuxième cancer le plus meurtrier. Pourtant, détecté à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.

La campagne de l’INCa s’adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans ciblées par le dépistage organisé. L’objectif est de les sensibiliser à l’importance de se faire dépister tous les 2 ans contre ce cancer et de les informer sur les avantages du test immunologique. Pour rappel, les personnes concernées sont invitées tous les 2 ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant et pris en charge à 100%.

Le remplacement du test Hémoccult par le test immunologique de détection de sang occulte dans les selles est effectif depuis le mois de mai. Ce nouveau test est plus fiable et plus performant : il permet de détecter environ 2 fois plus de cancers colorectaux et 2,5 fois plus d’adénomes avancés. Plus simple d’utilisation, il ne nécessite qu’un seul prélèvement de selles contre six auparavant.

A l’occasion de cette campagne, le Cespharm met à votre disposition une affiche ainsi que deux documents à remettre aux personnes âgées de 50 à 74 ans (carte postale, dépliant d’information présentant les avantages du nouveau test de dépistage ainsi que l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).

10
novembre

Une dispensation d'isotrétinoïne sur 3 ne respecterait pas les impératifs liés au test de grossesse préalable. Ce chiffre de l'Assurance maladie a conduit l'ANSM à proposer une version uniformisée du Guide de délivrance de la molécule pour le pharmacien et à actualiser ses documents pour la minimisation des risques.

Deux semaines après la publication des nouvelles recommandations relatives au traitement de l'acné, l'ANSM propose des versions actualisées des documents pour la minimisation des risques de l'isotrétinoïne.

Un Guide du pharmacien pour la délivrance de la molécule (auparavant proposé sous plusieurs versions par les différents laboratoires commercialisant l'isotrétinoïne) est dorénavant disponible dans une version uniformisée, élaborée "sous l'autorité de l'ANSM". Ce Guide intègre la notion de prescription initiale réservée au dermatologue (en vigueur depuis le printemps) et le détail des risques liés à ce médicament : tératogénicité, troubles psychiatriques, troubles pancréatiques et hépatiques notamment. Il propose également un tableau pratique, listant de façon claire les points à vérifier lors d'une première dispensation ou d'un renouvellement.

Les deux brochures d'information destinées aux patients traités par isotrétinoïne – l'une pour les hommes, la seconde pour les femmes – ont également été mises à jour. Par ailleurs le Carnet-patiente, mentionne désormais la vigilance nécessaire quant à l'éventuelle apparition d'effets indésirables de la molécule et invite à une déclaration de pharmacovigilance le cas échéant. Il intègre, bien sûr, la notion de prescription initiale par un dermatologue.