07
juillet

Les réflexes à adopter face au soleil ? Pour un rappel utile auprès de vos patients, le Cespharm vous accompagne au cours de l'été dans le relais de la campagne de prévention des risques solaires menée par l'Inpes.

Source de vitamine D et de bonne humeur, le soleil n'en est pas moins à l'origine d'une pléiade de méfaits. Afin de limiter les risques d'insolation, de lésions oculaires et de cancers cutanés, un seul mot d'ordre : se protéger des UV !

Pour sensibiliser l'opinion à cette problématique, l'Inpes lance sa campagne annuelle de sensibilisation. Ainsi, tout au long des mois de juillet et août, l'institut rappellera les 4 gestes à respecter pour une protection efficace contre le soleil. L'occasion d'insister sur l'importance de les appliquer durant toute la période estivale, quels que soient l'environnement et l'activité pratiquée. Un déjeuner à la terrasse d'une brasserie, du jardinage ou des promenades à la campagne méritent autant d'attention qu'un moment passé sur une plage. Une vigilance toute particulière doit, en outre, être portée aux enfants dont la peau et les yeux sont plus fragiles que ceux d'un adulte et chez qui la déshydratation peut être rapide et lourde de conséquences.

Pour diffuser au mieux tous ces messages, le dispositif de communication de l'Inpes s'appuie sur le site prevention-soleil.fr ainsi que sur la diffusion de spots radio et de messages télévisés (Météo des plages sur France 2 et France 3). En complément, le Cespharm met à votre disposition l'affiche et la brochure de l'Inpes qui s'adressent à vos patients ainsi que des documents à usage professionnel (dossier et fiche mémo). La brochure "Grain de beauté ou mélanome ? Comment faire la différence" est également proposée. Elle incite le public à surveiller ses grains de beauté et à consulter un médecin au moindre doute.

30
juin

 

A l’approche des vacances d’été, le Cespharm vous propose une sélection d’outils rappelant les moyens à mettre en oeuvre pour se protéger du chikungunya et de la dengue et prévenir l’implantation de ces maladies en France métropolitaine.

Une épidémie de chikungunya sévit actuellement dans les Antilles françaises ainsi qu’en Guyane et des cas récents de dengue ont été identifiés sur l’île de la Réunion (InVS, juin 2014). Le risque d’introduction et de transmission autochtone de ces maladies existe également en métropole. Il est particulièrement important dans le sud de la France où le moustique vecteur Aedes albopictus colonise désormais dix-huit départements : Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardèche, Aude, Bouches-du-Rhône, Corse du Sud, Drôme, Gard, Gironde, Haute-Corse, Haute-Garonne, Hérault, Isère, Lot-et-Garonne, Pyrénées-Orientales, Rhône, Var et Vaucluse.

Pour vous aider à sensibiliser le public à la prévention de ces maladies, le Cespharm met à votre disposition :

- la brochure "Chikungunya, dengue, paludisme, West nile : comment se protéger ?" à remettre aux voyageurs se rendant dans une zone tropicale. Editée par le ministère chargé de la santé, l’InVS et l’Inpes, elle présente les principales mesures de protection contre les piqûres de moustiques à adopter pendant leur séjour. Elle met également l’accent sur l’importance, pour les voyageurs de retour en métropole et résidant tout particulièrement dans le sud de la France, de poursuivre ces mesures en cas de survenue de signes cliniques évocateurs de dengue ou de chikungunya (fièvre d’apparition brutale avec arthralgies, céphalées…).

- un document d’information professionnelle faisant notamment le point sur les moyens de prévention de la dengue et du chikungunya en France métropolitaine et la conduite à tenir en présence d’un cas suspect, élaboré par la DGS, l’InVS et l’Inpes.

18
juin

Le ministère chargé de la Santé alerte l'opinion suite à plusieurs cas de bilharziose intervenus à l'issue de baignades dans une rivière corse, proche de Porto-Vecchio. Une Fiche pratique est éditée pour les professionnels de santé. Elle définit notamment les personnes à risque nécessitant des mesures diagnostiques.

C'est le signalement de plusieurs cas de bilharziose urogénitale chez des personnes s'étant baignées dans la rivière Cavu, proche de Porto-Vecchio (Corse du Sud), qui a motivé l'émission, fin mai, d'un avis du Haut conseil de la santé publique sur le dépistage et le traitement des infections à Schistosoma haematobium. Le ministère en charge de la Santé en a tiré une Fiche pratique récapitulant les principaux symptômes de la pathologie et la conduite à tenir face à une personne exposée. Elle définit également les populations à risque, chez qui une démarche diagnostique est recommandée. Le but de ce dépistage est double : à l'échelle individuelle il vise à éviter les complications à long terme, et à l'échelle collective, il permet d'interrompre le cycle parasitaire pour en limiter la propagation.

Ainsi, "tout sujet ayant eu un contact cutané, même bref, avec de l'eau de la rivière Cavu" entre juin et septembre des années 2011 à 2013 doivent faire pratiquer, sans urgence, une sérologie de bilharziose. Les personnes symptomatiques ou qui ont été exposées de façon répétitive doivent être dépistées de façon prioritaire.

Le seul traitement efficace est le praziquantel à raison de 40 mg/kg en une ou deux prises sur une seule journée. Exclusivement curatif, cet antiparasitaire n'est efficace que sur les formes matures du parasite, ce qui implique le respect d'un délai minimum de 8 semaines entre le dernier contact présumé contaminant et la prise du traitement.

10
juin

L'Agence de la biomédecine consacre une nouvelle fois la journée du 22 juin au don d'organes, à la greffe et à la reconnaissance aux donneurs. Le Cespharm met à votre disposition les outils de la campagne afin que vous aussi, vous puissiez diffuser le message : "Maintenant, c'est le bon moment pour dire à vos proches si vous êtes ou non pour le don d'organes".

Inciter chaque Français à exprimer à ses proches sa position face à la question du don d'organe. C'est la mission phare de la Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe et de reconnaissance aux donneurs, organisée le dimanche 22 juin par l'Agence de la biomédecine.

En France, en 2013, c'est à peine plus d'un quart des patients dans l'attente d'un greffon qui a pu bénéficier d'une transplantation. Communiquer à ses proches sa position sur le don d'organes est un gain de chances pour ces patients, évitant les refus de prélèvements liés à un manque d'échange au sein des familles. Cette démarche reste tout aussi capitale chez les Français détenteurs d'une "carte de donneur" puisqu'en pratique, celle-ci n'a pas de valeur légale.

En cas de décès brutal pouvant faire envisager un prélèvement, à moins que le défunt ne soit inscrit sur le Registre national des refus, le personnel médical se tourne systématiquement vers ses proches pour savoir s'il était opposé au don d'organes. Lorsqu'aucun témoignage de sa position n'a été transmis, la décision revient à l'entourage du défunt, une épreuve qui s'ajoute à la douleur du décès.

Votre place de professionnel de santé de proximité fait de vous un interlocuteur privilégié pour sensibiliser le public à cette question. Afin de vous accompagner dans cette démarche, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure informative de l'Agence de la biomédecine destinée au grand public. Un bon moyen d'ouvrir le dialogue sur ce sujet à la fois délicat et fondamental pour la survie des milliers de patients dans l'attente d'une greffe.

06
juin

 

Les recommandations sanitaires pour les voyageurs 2014 ont été publiées dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) n°16-17 du 3 juin 2014.

 

 Les nouveautés par rapport aux recommandations 2013 concernent principalement :

 

 ■ les maladies d’importation susceptibles de s’implanter en France : le BEH intègre désormais un chapitre consacré à la gestion des situations à risque pour les voyageurs revenant en France. Il alerte notamment sur la menace d’introduction de la dengue et du chikungunya dans le sud de la France où le moustique vecteur Aedes albopictus colonise à présent 17 départements.

 

la chimioprophylaxie antipaludique : le tableau relatif à la chimioprophylaxie antipaludique recommandée selon les pays a été actualisé.

 

les mesures préventives antivectorielles : afin de limiter la multiplication des moustiques, il est recommandé de supprimer toutes les sources d’eau stagnante dans et autour des habitations. Seule la perméthrine reste autorisée pour l’imprégnation des vêtements et des moustiquaires.

 

la vaccination contre l’hépatite B : le schéma de primovaccination accéléré pour les adultes nécessitant une immunisation rapide comporte 3 doses désormais administrées sur 21 jours (J0, J7 ou J10 et J21, en remplacement du schéma M0-M1-M2).

 

L’intégralité des "Recommandations sanitaires pour les voyageurs 2014" peut être consultée sur le site de l’Institut de veille sanitaire (InVS).

 

A l’occasion de leur publication, le Cespharm met à votre disposition une version actualisée de sa brochure "Conseils aux voyageurs" à remettre aux personnes envisageant un séjour à l’étranger. Il vous propose également la brochure "Chikungunya, dengue, paludisme, West nile : comment se protéger ?", élaborée par le ministère chargé de la santé, l’InVS et l’Inpes à l’intention des voyageurs se rendant dans une zone tropicale.

03
juin

"Les plus beaux instants de sa vie peuvent cacher un danger imminent". Tel est le slogan choisi par l'EAACI pour informer le public sur les allergies alimentaires et l'anaphylaxie. Pour vous aider à communiquer, le Cespharm distribue les outils de la campagne. Prêts à passer commande ?

La France arrive dans le trio de tête des pays européens ayant la plus forte prévalence d'allergies alimentaires ! A l'image des Italiens et des Allemands, les Français sont en effet 3.5 %, soit plus de 2 millions, à en souffrir.

Pour faire connaître le risque potentiellement mortel de choc anaphylactique et inciter les personnes à risque à consulter un médecin, l'European academy of allergy and clinical immunology (EAACI) lance, à l'échelle de l'Europe, une vaste campagne d'information sur cette problématique. Dans ce cadre, cet organisme de référence édite une affiche et un dépliant. Ces outils proposent un test en quatre questions permettant à chacun de déterminer s'il est à risque de choc anaphylactique. Un "oui" à l'une des quatre questions doit faire orienter le patient vers un médecin. Pour permettre aux pharmaciens de diffuser l'information, ces documents destinés au grand public sont disponibles à la commande auprès du Cespharm.

23
mai

La 3e édition de la Semaine nationale de prévention du diabète se déroulera du 2 au 8 juin prochains. Organisée par la Fédération française des diabétiques (anciennement Association française des diabétiques - AFD), cette manifestation a pour objectif de sensibiliser le public aux facteurs de risque du diabète et d'inciter à son dépistage.

Au cours de cette Semaine, des actions de prévention seront mises en place dans toutes les régions (détails sur le site www.contrelediabete.fr). Le public sera invité à évaluer son risque de développer un diabète grâce à un "Test de risque du diabète" en 5 questions. En fonction des résultats, des conseils préventifs adaptés et, si nécessaire, l'orientation vers un professionnel de santé seront proposés.

L'affiche de la campagne et le dépliant "Plus vite que le diabète – Dégainez votre test de risque !" sont disponibles auprès des associations locales de la Fédération française des diabétiques ou téléchargeables sur www.contrelediabete.fr. Ce site, dédié à la prévention du diabète, propose également de compléter en ligne le test de risque ainsi que des informations, témoignages et conseils sur la maladie.

Pour aider les pharmaciens à relayer cette manifestation, le Cespharm met à leur disposition une brochure éditée par l’AFD comportant le "Test de risque du diabète" ainsi qu'un dossier d'information professionnelle sur le diabète.