Actualités
16
mars
2015

Du 29 mars au 4 avril, le don de moelle osseuse sera mis à l'honneur par l'Agence de la biomédecine au cours d'une Semaine consacrée à la cause. Les 28 et 29 mars, c'est de la leucémie dont il sera question dans le cadre de Journées organisées par un large collectif associatif. Choisirez-vous d'en parler ?

Le chiffre de 240 000 donneurs est proche d'être atteint sur le Registre France greffe de moelle. Au cours de la Semaine nationale de mobilisation pour le don de moelle osseuse, l'Agence de la biomédecine se mobilise pour :

- faire connaître ce don ;
- recruter de nouveaux donneurs, chaque nouvel inscrit augmentant les chances de compatibilité et donc de guérison pour les malades ;
- remercier, au nom des malades, les donneurs déjà inscrits sur le registre (baptisés "Veilleurs de vie").

Ainsi, entre le 29 mars et le 4 avril, trois bus aux couleurs de l'événement sillonneront la France. Ils s'arrêteront tour à tour sur les places publiques de 21 villes et proposeront notamment des stands d'information, des espaces d'échanges et des bornes interactives permettant d'éventuelles pré-inscriptions sur le registre. Pour communiquer sur cet événement et informer vos patients sur le don de moelle osseuse, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure.

Le week-end des 28 et 29 mars, c'est la deuxième édition des Journées nationales contre la leucémie qui prendra place dans l'Hexagone. Co-fondée en 2014 par les associations Laurette Fugain et Cent pour sang la vie, cette manifestation est le fruit du travail d'un large collectif d'associations, toutes unies autour d'une même cause. Elle a pour but de financer la recherche médicale sur les leucémies en récoltant des fonds auprès du public. Ainsi, des quêtes sont organisées dans une ambiance gaie et positive, au sein de 80 villes. Si vous souhaitez vous impliquer dans cette action, des affiches, dépliants, tirelires et bandeaux à intégrer sur vos sites web sont disponibles, sur demande, auprès de ronanjaffre@laurettefugain.org

22
janvier
2015

L’Institut national du cancer (INCa) mène une nouvelle campagne visant à sensibiliser les femmes âgées de 25 à 65 ans à l’importance de se faire dépister régulièrement contre le cancer du col de l’utérus. Partenaire de cette action, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils pour relayer les messages auprès des femmes concernées.

Cette année, la campagne de l’INCa s’adresse tout particulièrement aux femmes ayant le moins recours à ce dépistage : femmes âgées de 25 à 30 ans ou de plus de 50 ans, femmes en situation sociale difficile, femmes résidant dans les départements d’Outre-mer. A cette occasion, les recommandations de la Haute autorité de santé sont rappelées : un dépistage par frottis cervico-utérin est recommandé tous les 3 ans, après 2 frottis annuels normaux, pour toutes les femmes de 25 à 65 ans, et ce même en l’absence de rapports sexuels et après la ménopause.

Un important dispositif de communication est mis en place à l’attention des femmes ciblées : campagne presse et sur Facebook, diffusion de spots radio en métropole et dans les DOM, distribution de nouveaux documents d’information, …

Pour vous aider à relayer cette manifestation, le Cespharm vous propose une sélection d’affichettes (disponibles en version française et multilingue) ainsi qu’un dépliant d’information sur le frottis de dépistage à remettre aux femmes concernées. Un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention du cancer du col de l’utérus est également mis à votre disposition.

03
mars
2014

Durant tout le mois de mars, l’Institut national du cancer (INCa) lance une nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer colorectal. Il s’agit de sensibiliser les hommes et les femmes, quel que soit leur niveau de risque, à l’importance d’une détection précoce de ce cancer.

Le cancer colorectal est aujourd’hui, avec plus de 42000 nouveaux cas estimés en 2012, le troisième cancer le plus fréquent en France. Responsable de 17500 décès chaque année, il est également le deuxième cancer le plus meurtrier. Pourtant, détecté à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Cette année, la campagne lancée par l’INCa a pour objectif d’inciter les hommes et les femmes, quel que soit leur niveau de risque, à s’interroger sur le dépistage du cancer colorectal et à en discuter avec leur médecin traitant. Il s’agit de leur faire connaître les informations clés (antécédents familiaux ou personnels, signes d’alerte, …) à communiquer à leur médecin afin que ce dernier puisse déterminer leur niveau de risque et leur proposer la stratégie de dépistage adaptée. Le public est invité à consulter le site de l’INCa pour y trouver les éléments lui permettant de préparer la consultation avec son médecin.

Pour rappel, un programme national de dépistage organisé du cancer colorectal a été mis en place par les pouvoirs publics. Il s’adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans, asymptomatiques et ne présentant pas de facteur de risque particulier. Les personnes concernées sont invitées tous les 2 ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant.

Pour aider les pharmaciens à relayer cette manifestation, le Cespharm met à leur disposition l’affiche de la campagne ainsi que deux documents à remettre au public (carte postale, brochure d’information sur l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).

27
septembre
2013

Pour la 9ème année consécutive, l’Institut national du cancer (INCa) lance une campagne d’information et de sensibilisation sur le dépistage organisé du cancer du sein. Partenaire de cette action, le Cespharm met à la disposition des pharmaciens une sélection d’outils pour relayer les messages auprès des femmes concernées.

Le dépistage organisé du cancer du sein permet aux femmes de 50 à 74 ans de bénéficier tous les deux ans d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec "double lecture" (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %. Détecté à un stade précoce, ce cancer peut être guéri dans plus de neuf cas sur dix.

Cette année, la campagne "Octobre rose" a pour objectif d’apporter des réponses aux questions que se posent les femmes sur le fonctionnement de ce dépistage, ses avantages mais aussi ses inconvénients. Il s’agit de leur permettre de faire un choix éclairé quant à leur participation au dépistage tout en rappelant la recommandation des autorités de santé "A partir de 50 ans, la mammographie est recommandée tous les deux ans".

Pour aider les pharmaciens à relayer cette manifestation, le Cespharm leur propose l’affiche de la campagne ainsi qu’une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre au public : carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage.

27
août
2013

Le décret n°2013-449 et l’arrêté en date du 31 mai 2013, parus au Journal Officiel le 2 juin dernier, ont actualisé les compétences requises pour dispenser l’éducation thérapeutique du patient (ETP) et ont précisé celles nécessaires pour coordonner un programme d’ETP. Ils remplacent le référentiel de compétences défini dans le décret n°2010-906 et l’arrêté du 2 août 2010.

Le décret n°2013-449 définit trois domaines de compétences pour dispenser l’ETP :
- des compétences techniques permettant de favoriser une information utile du patient sur sa maladie et son traitement, et de fournir les éléments nécessaires au suivi et à l’organisation,
- des compétences relationnelles et pédagogiques visant à développer un partenariat avec les patients,
- des compétences organisationnelles permettant de planifier des actions et de conduire un projet d’ETP.

Le référentiel détaillé des compétences pour dispenser l’ETP dans le cadre d’un programme, présenté dans l’annexe 1 de l’arrêté du 31 mai 2013, a été actualisé. Il décrit six situations significatives rencontrées dans la pratique de l’ETP et précise, pour chacune d’elle, les activités réalisées et les compétences requises pour les mettre en œuvre. Rappelons que l'acquisition de ces compétences requiert une formation d'une durée minimale de quarante heures d'enseignements théoriques et pratiques, pouvant être sanctionnée notamment par un certificat ou un diplôme.

L’annexe 2 de cet arrêté comporte désormais le référentiel de compétences pour coordonner un programme d’ETP. Pour rappel, ce dernier peut être coordonné par un professionnel de santé (dont les pharmaciens).

L’Inpes propose sur son site internet des documents complémentaires pour accompagner l’utilisation de chacun de ces référentiels .

10
juin
2013

Durant tout le mois de juin, le Cespharm s'associe à l'INCa pour mobiliser les pharmaciens autour de la prévention et du dépistage du cancer du col de l'utérus.

Chaque année en France, le cancer du col de l'utérus touche environ 3 000 femmes et est responsable de près de 1 000 décès. La campagne lancée par l'Institut national du cancer (INCa) a pour objectif de promouvoir les deux moyens efficaces et complémentaires pour se protéger contre ce cancer :

- La vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) permet de prévenir l'infection par les sérotypes 16 et 18, responsables d'environ 70% des cancers du col de l'utérus. Depuis 2013, elle est recommandée pour les jeunes filles de 11 à 14 ans ou en rattrapage jusqu'à l'âge de 19 ans révolus.

- Le frottis reste indispensable, même chez les femmes vaccinées, du fait de la protection partielle de la vaccination. Il est recommandé tous les 3 ans pour toutes les femmes de 25 à 65 ans, qu'elles soient vaccinées ou non.

Durant le mois de juin, un spot radio sera diffusé afin de rappeler l’importance du frottis de dépistage comme moyen d’agir contre le cancer du col de l’utérus. Des brochures destinées au public sur la prévention et le dépistage seront largement diffusées.

Le pharmacien, professionnel de santé de proximité, joue un rôle majeur pour informer les femmes sur le cancer du col de l’utérus et les inciter au dépistage. Le Cespharm met à leur disposition l'affiche de la campagne, les brochures "Dépistage du cancer du col de l'utérus" et "Prévention du cancer du col de l'utérus" à remettre au public ainsi qu'un document d'information professionnelle.

01
mars
2013

Durant tout le mois de mars, l’INCa renouvelle sa campagne d’information et de sensibilisation au dépistage organisé du cancer colorectal.

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent en France et le deuxième en termes de mortalité. Et pourtant, diagnostiqué tôt, ce cancer peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Dans le cadre du programme national organisé par les pouvoirs publics, les hommes et les femmes de 50 à 74 ans sont invités, tous les 2 ans, à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant. 17 millions de personnes sont ainsi ciblées.

Si ce dépistage est assez bien identifié dans la population concernée, une enquête récente montre que les français sous-estiment la fréquence et la mortalité du cancer colorectal et connaissent insuffisamment les bénéfices d’une détection précoce [Enquête INCa/BVA, janvier 2013].

La campagne lancée par l’INCa vise à faire prendre conscience de l’intérêt d’un dépistage précoce du cancer colorectal. L’objectif est également de favoriser le passage à l’acte, en dédramatisant la réalisation de ce dépistage autour d’un message simple et concret : "Le meilleur endroit pour faire le test, c’est chez soi".

Une large diffusion de ce message est prévue dans les médias (TV, radio, presse, Internet). Un film d’animation pédagogique est disponible sur le site de l’INCa afin de faire comprendre l’intérêt du dépistage organisé et d’en préciser les modalités. Une affichette, une brochure et une carte postale à remettre au public complètent notamment ce dispositif de communication.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !