Actualités
16
juillet
2018

Dans le cadre de la campagne #EtéSansSouci, le ministère chargé de la Santé et les agences sanitaires mettent l’accent sur les gestes à adopter pour se protéger des piqûres de tiques. Pour vous aider à sensibiliser le public, le Cespharm vous propose une sélection d’outils sur la prévention de la maladie de Lyme.

27
juillet
2017

Le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils sur la maladie de Lyme rappelant les mesures de prévention à adopter et la conduite à tenir en cas de morsure de tique.

10
novembre
2015

Une dispensation d'isotrétinoïne sur 3 ne respecterait pas les impératifs liés au test de grossesse préalable. Ce chiffre de l'Assurance maladie a conduit l'ANSM à proposer une version uniformisée du Guide de délivrance de la molécule pour le pharmacien et à actualiser ses documents pour la minimisation des risques.

Deux semaines après la publication des nouvelles recommandations relatives au traitement de l'acné, l'ANSM propose des versions actualisées des documents pour la minimisation des risques de l'isotrétinoïne.

Un Guide du pharmacien pour la délivrance de la molécule (auparavant proposé sous plusieurs versions par les différents laboratoires commercialisant l'isotrétinoïne) est dorénavant disponible dans une version uniformisée, élaborée "sous l'autorité de l'ANSM". Ce Guide intègre la notion de prescription initiale réservée au dermatologue (en vigueur depuis le printemps) et le détail des risques liés à ce médicament : tératogénicité, troubles psychiatriques, troubles pancréatiques et hépatiques notamment. Il propose également un tableau pratique, listant de façon claire les points à vérifier lors d'une première dispensation ou d'un renouvellement.

Les deux brochures d'information destinées aux patients traités par isotrétinoïne – l'une pour les hommes, la seconde pour les femmes – ont également été mises à jour. Par ailleurs le Carnet-patiente, mentionne désormais la vigilance nécessaire quant à l'éventuelle apparition d'effets indésirables de la molécule et invite à une déclaration de pharmacovigilance le cas échéant. Il intègre, bien sûr, la notion de prescription initiale par un dermatologue.

26
octobre
2015

Isotrétinoïne, minocycline, Diane 35. Au vu des multiples alertes liées à des traitements de l'acné ces dernières années, de nouvelles recommandations en la matière viennent d'être publiées. Labellisées par la HAS, elles abordent notamment l'éducation des patients et la délivrance de l'isotrétinoïne.

Les recommandations de bonne pratique dans la prise en charge de l'acné, fraîchement publiées par la Société française de dermatologie (SFD), actualisent celles émises par l'Afssaps en 2007. Labellisées par la HAS, elles orientent le choix du traitement non plus selon le type de lésions (comédons, papulo-pustules, nodules) mais en fonction du stade de gravité de l'acné. Un arbre décisionnel avec photos et description des cinq stades de référence résume ces recommandations.

Elles comportent par ailleurs un volet sur l'information et l'éducation des patients, identifiées comme des facteurs pouvant améliorer l'adhésion au traitement et devant faire partie de la prise en charge. Le patient doit en effet être averti du caractère suspensif du traitement et de la nécessité de suivre un traitement d'entretien local "aussi longtemps que nécessaire". Il doit également être sensibilisé au délai de quelques semaines nécessaire à l'obtention d'une amélioration visible et aux moyens de limiter l'irritation liée aux traitements locaux notamment.

L'isotrétinoïne orale fait l'objet d'un focus particulier en lien avec deux de ses effets indésirables : sa tératogénicité et l'apparition possible de troubles psychiatriques (pages 9 et 10 des recommandations).

La SFD rappelle que sa prescription initiale est désormais réservée aux dermatologues et qu'elle est contre-indiquée chez les femmes en âge de procréer sauf dans le cas où toutes les conditions du programme de prévention des grossesses sont réunies. Ces femmes doivent notamment se voir remettre un carnet-patiente rappelant ces conditions. Aucune délivrance ne peut avoir lieu sans la présentation du carnet dûment rempli chaque mois par le prescripteur, ni au-delà des 7 premiers jours suivant la date d'établissement de la prescription. Une contraception efficace est obligatoire avant, pendant et un mois après le traitement par isotrétinoïne.

Pour un rappel toujours utile, l'ensemble des éléments conditionnant la délivrance de cette molécule est détaillé en page 9 des recommandations.

07
juillet
2014

Les réflexes à adopter face au soleil ? Pour un rappel utile auprès de vos patients, le Cespharm vous accompagne au cours de l'été dans le relais de la campagne de prévention des risques solaires menée par l'Inpes.

Source de vitamine D et de bonne humeur, le soleil n'en est pas moins à l'origine d'une pléiade de méfaits. Afin de limiter les risques d'insolation, de lésions oculaires et de cancers cutanés, un seul mot d'ordre : se protéger des UV !

Pour sensibiliser l'opinion à cette problématique, l'Inpes lance sa campagne annuelle de sensibilisation. Ainsi, tout au long des mois de juillet et août, l'institut rappellera les 4 gestes à respecter pour une protection efficace contre le soleil. L'occasion d'insister sur l'importance de les appliquer durant toute la période estivale, quels que soient l'environnement et l'activité pratiquée. Un déjeuner à la terrasse d'une brasserie, du jardinage ou des promenades à la campagne méritent autant d'attention qu'un moment passé sur une plage. Une vigilance toute particulière doit, en outre, être portée aux enfants dont la peau et les yeux sont plus fragiles que ceux d'un adulte et chez qui la déshydratation peut être rapide et lourde de conséquences.

Pour diffuser au mieux tous ces messages, le dispositif de communication de l'Inpes s'appuie sur le site prevention-soleil.fr ainsi que sur la diffusion de spots radio et de messages télévisés (Météo des plages sur France 2 et France 3). En complément, le Cespharm met à votre disposition l'affiche et la brochure de l'Inpes qui s'adressent à vos patients ainsi que des documents à usage professionnel (dossier et fiche mémo). La brochure "Grain de beauté ou mélanome ? Comment faire la différence" est également proposée. Elle incite le public à surveiller ses grains de beauté et à consulter un médecin au moindre doute.