Pneumologie / ORL
La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et se poursuivra jusqu’au 31 janvier 2016.
Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée. Elle intègre la souche A(H3N2) qui a majoritairement circulé en Europe l’hiver dernier, et contre laquelle le précédent vaccin n’était pas efficace.
La diminution de la couverture vaccinale des populations à risque se poursuit (46,1 % en 2014 contre 48,9 % en 2013). Cette nouvelle baisse concerne en particulier les personnes âgées de 65 ans et plus (48,5 % en 2014 versus 51,9 % en 2013). Pour inverser cette tendance, l’Assurance maladie lance une campagne d’information, avec pour signature "La grippe : pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination".
Pour rappel, le vaccin antigrippal est pris en charge à 100% notamment pour :
- les sujets âgés de 65 ans et plus,
- les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
- les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
- les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2,
- les professionnels de santé libéraux en contact régulier et prolongé avec des sujets à risque de grippe sévère (dont les pharmaciens titulaires d'officine).
Comme lors des campagnes précédentes, les personnes "non primo-vaccinantes" invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les "primo-vaccinants", pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire. Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie.
En complément de la vaccination, il est important de rappeler aux personnes à risque les "gestes barrières" pour se protéger contre la grippe : lavage pluriquotidien des mains, aération quotidienne du logement, port d’un masque de protection en cas de contact avec un sujet malade, … Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils d’information.
Le syndrome d'apnée du sommeil n'est pas suffisamment dépisté et peut avoir de graves conséquences pour la santé. Afin de mieux faire connaître cette pathologie et de permettre à chacun de déterminer s'il est à risque ou non, le Cespharm propose une brochure éditée par la Fédération française de cardiologie.
Maladies cardiovasculaires, dépression, accidents du travail et de la route sont des conséquences possibles de l'apnée du sommeil. Pourtant cette pathologie est insuffisamment dépistée. Pour mieux la faire connaître auprès du public, la Fédération française de cardiologie propose une brochure informative sur le sujet. Celle-ci fait le point sur la pathologie, ses symptômes et ses conséquences, et propose un rapide questionnaire permettant à chacun de déterminer s'il est à risque et s'il est opportun d'aborder le sujet avec son médecin.
Pour vous aider à sensibiliser vos patients, le Cespharm met cette brochure à votre disposition.
En parallèle, le site Internet allianceapnees.org de l'alliance Apnées du sommeil - Asthme et allergies regroupe un grand nombre d'informations sur la pathologie et propose des conseils pour améliorer la qualité de vie des patients atteints, un volet sur l'apnée du sommeil chez l'enfant et également de la documentation.
La Journée mondiale de l'asthme approche. Son mot d'ordre cette année ? "Chassons les idées reçues !" Une affiche et une brochure éditées pour l'occasion vous permettront de diffuser largement - et au-delà de cette Journée - des messages qui favoriseront la prise en charge et la maîtrise de la pathologie.
"On ne peut pas faire de sport lorsque l'on est asthmatique", "la cortisone est dangereuse", "il ne faut pas prendre son traitement antiasthmatique au cours de la grossesse", "la prise en charge de l'asthme se réduit à la gestion des crises"… Pour lutter contre ces idées fausses et diffuser une information claire et validée sur le sujet, l'association Asthme et allergies a élaboré une affiche et une brochure destinées au public. Elles sont diffusées par le Cespharm à l'occasion de la Journée mondiale de l'asthme du 5 mai… et bien au-delà !
Le but de cette campagne est de sensibiliser, d'informer et de "faire évoluer les mentalités afin que l'asthme soit davantage diagnostiqué, mieux maîtrisé et mieux pris en charge".
L'association en profite pour rappeler l'existence du numéro vert Asthme et allergies info service : 0800 19 20 21 (du lundi au jeudi de 9h à 13h et de 14h à 18h et le vendredi de 9h à 12h). Soutenu par l'Inpes, ce service est destiné à informer, orienter et écouter les patients, leur entourage mais également les professionnels de santé.
A l'occasion de la Journée, des actions seront organisées entre le 2 et le 10 mai à travers la métropole et dans les Dom-Tom. Un tchat en ligne sur le site de l'association aura lieu le mardi 5 mai entre 12 et 19 heures pour que les internautes puissent poser leurs questions en direct.
Compte tenu de la situation épidémiologique, la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est prolongée jusqu’au 28 février 2015.
L’Institut de veille sanitaire (InVS) a confirmé que le seuil épidémique a été franchi pour la seconde semaine consécutive, signant le début de l’épidémie grippale. L’ensemble des régions de la métropole est touché. Depuis le 1er novembre 2014, 223 cas graves de grippe ont été admis en service de réanimation. Les personnes concernées ont été majoritairement des adultes présentant des facteurs de risque (dont plus de 50 % de sujets âgés de 65 ans et plus) et non vaccinés.
Dans ce contexte, l’Assurance maladie et la Direction générale de la Santé prolongent la durée de validité des bons de prise en charge du vaccin antigrippal jusqu’au 28 février 2015, qui marquera la fin de la campagne.
Rappelons que la vaccination contre la grippe saisonnière est particulièrement recommandée chez les personnes présentant un risque accru de complications, notamment :
- les sujets âgés de 65 ans et plus,
- les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
- les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
- les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.
Les modalités pratiques de mise en œuvre de l’accompagnement par le pharmacien des patients asthmatiques viennent d’être publiées. Pour aider les confrères dans cette mission, le Cespharm met à leur disposition des grilles d’évaluation de l’utilisation des systèmes d’inhalation utilisés dans l’asthme et deux documents d’information professionnelle.
L’avenant n°4 à la convention nationale pharmaceutique relatif notamment à l’accompagnement par les pharmaciens des patients asthmatiques est paru au Journal officiel du 2 décembre 2014. Il précise les modalités pratiques de mise en œuvre de cet accompagnement pour les patients en initiation ou en reprise (après une interruption d’au moins 4 mois) d’un traitement de fond à base de corticoïde inhalé.
L’accompagnement s’effectue dans le cadre d’entretiens pharmaceutiques destinés notamment à évaluer les connaissances du patient sur son traitement, à favoriser le bon usage de ses médicaments (dont le renforcement de l’apprentissage des techniques d’inhalation), à améliorer son adhésion thérapeutique et à l’aider à contrôler les facteurs déclenchant ses crises.
Pour aider le pharmacien dans cette mission, les partenaires conventionnels ont élaboré un guide d’accompagnement des patients asthmatiques, une fiche de suivi de l’entretien ainsi que des outils pédagogiques (planche illustrant une bronche asthmatique versus une bronche saine, mémo à remettre aux patients sur les facteurs déclenchants, …).
Le Cespharm met par ailleurs à la disposition des confrères une grille d’évaluation des gestes pour chaque système d’inhalation disponible dans le traitement de l’asthme. Conçues avec des experts pneumologues, ces grilles constituent un outil utile pour évaluer le degré de maîtrise des techniques d’inhalation des patients. Le Cespharm propose également une fiche technique sur le rôle du pharmacien dans la prise en charge des patients asthmatiques et un dossier d’information professionnelle sur l’asthme.
La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière se déroulera du 10 octobre 2014 au 31 janvier 2015. Plus de 10 millions de personnes à risque de grippe sévère seront invitées à se faire vacciner.
Seulement 48,9 % d’entre elles ont été vaccinées la saison précédente contre 50,1 % en 2012/2013. Ce nouveau recul confirme la tendance à la baisse régulière depuis 2010 du recours à la vaccination antigrippale. Il touche l’ensemble des catégories de population à risque, et en particulier les personnes âgées de 65 à 69 ans. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle l’importance pour les personnes à risque de se faire revacciner contre la grippe tous les ans.
Rappelons que le vaccin antigrippal est pris en charge à 100 % notamment pour :
- les sujets âgés de 65 ans et plus,
- les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
- les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
- les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2,
- les professionnels de santé libéraux en contact régulier et prolongé avec des sujets à risque de grippe sévère (dont les pharmaciens titulaires d'officine).
Comme lors de la campagne précédente, les personnes "non primo-vaccinantes" invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les "primo-vaccinants", pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.
Il est d’ores et déjà possible de délivrer aux assurés un vaccin antigrippal sur présentation de leur bon de prise en charge et de le facturer selon les modalités précisées par l’Assurance maladie.
Un "mémo" sur les modalités de la campagne sera prochainement mis en ligne sur le site de l’Assurance maladie.
Compte tenu de la situation épidémiologique, la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est prolongée jusqu’au 28 février 2014.
Les données de surveillance épidémiologique de la grippe recueillies depuis le 11 octobre 2013 montrent que l’activité grippale s’accentue de manière progressive en France métropolitaine : des virus grippaux ont été détectés dans toutes les régions. Depuis le 1er novembre 2013, près de 100 cas graves de grippe ont été admis en service de réanimation. Les personnes concernées ont été majoritairement des adultes présentant des facteurs de risque et non vaccinés.
Selon le Ministère chargé de la santé, le pic épidémique de la grippe devrait être observé dans environ 3 semaines.
Dans ce contexte, l’Assurance maladie et la Direction générale de la santé prolongent la durée de validité des bons de prise en charge du vaccin antigrippal jusqu’au 28 février 2014, qui marquera la fin de la campagne.
Rappelons que la vaccination contre la grippe saisonnière est particulièrement recommandée chez les personnes présentant un risque accru de complications, notamment :
- les sujets âgés de 65 ans et plus,
- les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
- les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
- les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.
L’hiver est une période propice à la propagation de certains virus saisonniers. Pour limiter les risques de transmission et promouvoir les mesures simples de prévention, le Cespharm met à la disposition des pharmaciens des documents d'information à remettre au public.
Gastroentérite, bronchiolite, infections respiratoires virales… trois brochures, éditées par l'Inpes, permettent de rappeler les réflexes à adopter pour éviter la propagation de ces maladies et éviter d'éventuelles complications.
"Diarrhée du jeune enfant, évitez la déshydratation !"
Le dépliant est axé sur l'utilisation des solutions de réhydratation orale : préparation, conservation, fréquence d'administration. S'y ajoutent des conseils sur l'alimentation, la surveillance de l'enfant et les signes d'aggravation.
"La bronchiolite"
Comment limiter les risques de transmission du virus ? Quelle conduite tenir en cas de signes évocateurs de bronchiolite ? Quelle prise en charge de la maladie ? Le dépliant est un support pratique d'information pour répondre aux questions que peuvent vous poser les parents.
"Virus respiratoires : limitons les risques d'infection"
Le dépliant rappelle de façon illustrée les modes de transmission des virus respiratoires et les trois gestes simples pour limiter les risques d'infection : lavage des mains, utilisation de mouchoirs en papier, port d'un masque chirurgical.
L’Inpes et le ministère chargé de la santé, par le biais de campagnes d’information, rappellent chaque année au public ces messages de prévention en mettant l’accent sur le lavage des mains, geste essentiel pour limiter la propagation des infections.









