Actualités
18
novembre
2011

L’Inpes et le ministère chargé de la santé lancent une campagne rappelant les mesures d’hygiène à adopter pour limiter la transmission des virus de l’hiver. L’accent est mis sur le lavage des mains, geste de prévention essentiel mais insuffisamment appliqué (Baromètre santé Inpes, 2010).

L’hiver est une période propice à la propagation des virus responsables des grippes, bronchites, bronchiolites, rhinopharyngites et gastro-entérites. Ces virus se transmettent principalement par les gouttelettes émises lors de la toux ou d’éternuements, les postillons, la salive et le contact avec des mains ou des objets contaminés.

Pour limiter les risques de transmission, des gestes simples ont démontré leur efficacité :
- se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou utiliser une solution hydro- alcoolique, notamment après s’être mouché, avoir toussé ou éternué et avant chaque repas,
- se couvrir la bouche avec sa manche ou un mouchoir à usage unique pour tousser ou éternuer,
- jeter son mouchoir en papier dans une poubelle immédiatement après usage,
- porter un masque chirurgical lorsqu’on est malade,
- aérer régulièrement le logement.

Dans le cadre de cette campagne, l’Inpes rediffuse du 2 au 29 novembre un spot télévisé mettant en avant le lavage des mains et propose des brochures d’information rappelant les mesures simples d’hygiène à adopter et les conseils spécifiques à la bronchiolite et à la diarrhée du jeune enfant.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

18
avril
2011
18
janvier
2011

Face au nombre croissant de déclarations d’effets indésirables, parfois graves, liés au mauvais usage des produits cosmétiques, l’Afssaps a élaboré des recommandations à l’attention des consommateurs.

Elle rappelle ainsi certaines règles d’utilisation pour limiter la survenue d’effets indésirables :
- observer la liste d’ingrédients et conserver l’emballage
- suivre le mode et les précautions d’emploi
- respecter la date de péremption et la durée d’utilisation après ouverture
- nettoyer et renouveler régulièrement les accessoires de cosmétiques
- ne pas partager certains produits cosmétiques (ex : stick à lèvres)
- éviter l’exposition solaire ou aux UV artificiels après l’application de certains produits photo-sensibilisants (produits contenant des huiles essentielles, eaux de parfum…)

En cas de survenue d’un effet indésirable (réaction d’irritation, allergique, phototoxique…), il est recommandé au consommateur d’arrêter l’utilisation du produit cosmétique, de le conserver et de consulter un professionnel de santé.

Rappelons que tous les professionnels de santé sont tenus de déclarer à l’Afssaps les effets indésirables graves résultant de l’utilisation de produits cosmétiques.

Ces recommandations peuvent être consultées sur le site Internet de l’Afssaps. Par ailleurs, une brochure « Comment bien utiliser votre produit cosmétique ? » a été conçue pour être largement diffusée auprès du public.

Commandez la brochure « Comment bien utiliser votre produit cosmétique ? » mise à disposition par le Cespharm !

16
novembre
2010

L’INPES et le ministère de la Santé et des Sports, en lien avec l’Assurance maladie, lancent une nouvelle campagne visant à limiter la transmission des virus de l’hiver.

L’hiver est une période propice à la propagation des virus responsables des grippes, bronchites, bronchiolites, rhinopharyngites et gastro-entérites. La transmission de ces virus se fait par les gouttelettes émises notamment lors de la toux ou d’éternuements, par contact avec des mains ou des objets contaminés, par l’air surtout dans une pièce fermée.

Pour réduire la transmission de ces virus, des gestes simples ont montré leur efficacité :
- se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou utiliser une solution hydroalcoolique
- se couvrir la bouche et le nez avec sa manche ou un mouchoir à usage unique pour tousser ou éternuer
- jeter son mouchoir dans une poubelle immédiatement après usage puis se laver les mains
- porter un masque chirurgical lorsqu’on est malade, en particulier pour s’occuper de jeunes enfants ou de personnes malades
- aérer régulièrement le logement.

Dans le cadre de cette campagne, un spot télévisé met en avant le lavage des mains, geste central pour limiter la propagation des virus saisonniers. Des brochures d’information sont diffusées pour promouvoir les mesures simples d’hygiène et rappeler les conseils spécifiques à la bronchiolite et à la diarrhée du jeune enfant.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

15
juillet
2010

Voyager en avion pendant de nombreuses heures peut être à l’origine d’incidents médicaux. Dans son rapport "Santé des voyageurs sur des vols aériens de longue durée et rôle du médecin traitant", l’Académie nationale de médecine insiste sur l’importance d’informer les futurs passagers des risques encourus et de les conseiller sur les attitudes à adopter.

Le nombre important d’heures de vol, la pression atmosphérique abaissée dans la cabine, l’hygrométrie réduite, l’inconfort, l’immobilité, la promiscuité etc. favorisent la survenue d’incidents médicaux plus ou moins sévères. Professionnel de santé de proximité, le pharmacien est bien placé pour délivrer des conseils pratiques de prévention aux futurs passagers, parmi lesquels :

- s’hydrater régulièrement au cours du vol, se déplacer le plus souvent possible dans l’avion, porter des chaussettes de contention

- porter des vêtements amples sans compression abdominale

- remplacer les lentilles de contact par des lunettes pour tout vol dépassant 3 à 4 heures

- tenir compte du décalage horaire pour la prise de certains médicaments (contraceptifs oraux, anticoagulants, insuline...). Se munir des ordonnances des médicaments emportés en cabine.

L’Académie de Médecine souhaite que la prise en charge médicale soit renforcée lors de vols longs courriers. Elle recommande notamment une meilleure information des futurs voyageurs par l’élaboration et la mise à disposition d’un "guide du voyageur", une implication accrue des médecins généralistes ainsi que la formation d’un "correspondant médical de bord" parmi le personnel de cabine.

Pour en savoir plus, consultez l’intégralité de ce rapport sur www.academie-medecine.fr