07
avril

Proposé par la section D de l’Ordre national des pharmaciens, le 1er Congrès Internet des pharmaciens adjoints en officine se déroulera les samedi 14, dimanche 15 et lundi 16 mai 2011. L’inscription au congrès est ouverte dès aujourd’hui sur le site www.fiphad.fr

Entièrement sur Internet, ce congrès centré sur l’exercice officinal est ouvert aux pharmaciens, préparateurs, étudiants et autres professionnels de santé sur simple inscription en ligne sur le site www.fiphad.fr. D’ores et déjà, les participants sont invités à y poser des questions sur les sujets qu’ils souhaiteraient voir abordés durant le congrès.

Au programme :
- des conférences, interviews, reportages
- des espaces de dialogue : 4 débats interactifs
- des quiz pour tester ses connaissances
- des stands en association avec des partenaires institutionnels ou associatifs

Un stand dédié au Cespharm permettra de faire connaître aux confrères les services qui leur sont proposés en matière de prévention et d’éducation pour la santé.

Rendez-vous au Congrès Internet des pharmaciens adjoints en officine !

28
mars

Les prochains Parcours du Cœur, organisés par la Fédération française de cardiologie (FFC), auront lieu les 2 et 3 avril 2011 dans toute la France.

Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 400 morts par an en France et constituent la 1ère cause de mortalité chez les femmes, la 2ème chez les hommes. Elles sont favorisées par certains facteurs de risque évitables : tabac, sédentarité, facteurs liés à l’alimentation.

La 36ème édition des Parcours du cœur est l’occasion de rappeler les 3 règles d’or de la prévention des maladies cardiovasculaires : 0 cigarette, 5 fruits et légumes, 30 à 60 minutes d’activité physique par jour.

Tout au long de ces 2 journées, le public est invité à "bouger" et à "s’informer". Dans une ambiance festive et conviviale, les 950 villes participantes organiseront un parcours à caractère sportif. Cette année, les Parcours du cœur sont placés sous le signe du vélo et de nombreux cyclistes professionnels, des champions de France et des coureurs amateurs se sont mobilisés. Par ailleurs, les cardiologues, les bénévoles de la FFC et des professionnels de santé seront présents pour apporter conseils et informations sur les maladies cardiovasculaires et les moyens de les prévenir. Des initiations aux premiers secours seront également proposées.

Pour en savoir plus sur le programme des Parcours du cœur, rendez-vous sur le site de la Fédération française de cardiologie : www.fedecardio.com/parcoursducoeur

23
mars

La France dispose d’un réseau de surveillance de l’environnement, géré par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, permettant de détecter instantanément l’augmentation de la radioactivité dans l’air. Pour l’heure, aucune balise n’a détecté, sur le territoire français, de niveau de radioactivité supérieure à celui de la radioactivité naturelle. La situation actuelle dans notre pays ne justifie donc pas la prise de comprimés d’iode stable.

Le ministère en charge de la santé précise, qu’en dehors d’une exposition à des rejets d’iode radioactif, l’ingestion de comprimés d’iode stable est inutile, voire déconseillée dans certains cas. Il rappelle qu’en l’absence de recommandation explicite des autorités sanitaires, il n’y a pas lieu de prescrire ou de délivrer de l’iode ou des compléments alimentaires en contenant.

La France s’est dotée d’un dispositif de prévention pour faire face à toute hypothèse de rejets d’iode radioactif sur son territoire. Les populations résidant dans un rayon de dix kilomètres autour des centrales nucléaires sont régulièrement approvisionnées en comprimés d’iode, par le biais des pharmacies d’officine, lors de campagnes de distribution organisées tous les cinq ans. D’autre part, l’Etat a constitué des stocks de comprimés d’iode pour être en mesure de protéger la population vivant en dehors des périmètres définis autour des sites nucléaires. En cas d’alerte sur le territoire national, les autorités françaises organiseront la distribution de ces comprimés.

L’administration d’iode stable a pour objectif de diminuer le risque de cancer de la thyroïde en empêchant l’iode radioactif de se fixer sur cette glande. Son efficacité est optimale si la prise s’effectue dans les 2 heures précédant l’exposition puis décroît fortement en cas de prise dans les heures qui suivent. Rappelons que le comprimé d’iode ne doit être ingéré que sur instruction formelle des autorités locales (préfet).

Le ministère de la santé propose, sur son site internet, un dossier « Japon, point sur les recommandations sanitaires » régulièrement actualisé. Deux questions-réponses permettent notamment de faire le point sur les mesures de protection à mettre en œuvre en cas d’accident nucléaire, sur l’intérêt des comprimés d’iode, les conditions de leur efficacité et les modalités de leur distribution, le dispositif de surveillance nationale du niveau de radioactivité,...

17
mars

La nouvelle campagne relayée dans le cadre du programme Vitrines d’éducation et de prévention pour la santé a pour thème la contraception.

Malgré le nombre important de couples utilisant un moyen de contraception, le nombre de grossesses non désirées reste élevé (1 grossesse sur 3) et le nombre d’IVG se maintient aux environs de 200 000 par an (IGAS, 2009).

De nombreux échecs de contraception sont liés à un défaut d’observance de la part des utilisatrices. Si aucune méthode contraceptive n’est efficace à 100%, l’efficacité apparaît étroitement corrélée à l’adéquation de la méthode utilisée aux attentes et contraintes des femmes.

Le pharmacien a un rôle essentiel d’information et d’éducation du public dans ce domaine, notamment à l’occasion de la dispensation d’un contraceptif ou de la délivrance anonyme et gratuite de la contraception d’urgence aux mineures.

Les adhérents au programme « Vitrines » ont reçu l’affiche « Vous vous posez plein de questions sur la contraception ? Ca tombe bien, ici on a plein de réponses », éditée par l’Inpes.

Dans le cadre de cette campagne d’affichage, le Cespharm met à la disposition des confrères des fiches mémo sur la conduite à tenir en cas d’oubli de pilule - élaborées conjointement par le Cespharm et l’Association française pour la contraception -, un dossier documentaire et une sélection de brochures à remettre au public. Des versions spécifiques de certains dépliants pour les départements d’outre-mer sont également disponibles.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

17
mars

Le ministère chargé de la santé et l’Inpes lancent une campagne pour sensibiliser les buveurs réguliers à leur consommation d’alcool.

La consommation quotidienne d’alcool concerne près de 17 % des 40-75 ans soit plus d’un quart des hommes de cette tranche d’âge et moins d’une femme sur dix. Par ailleurs, 15 % des hommes de plus de 40 ans ont une consommation régulière excessive - à partir de 21 verres par semaine pour les hommes et de 14 pour les femmes (Baromètre Santé 2010, Inpes).

Selon les Baromètres Santé de l’Inpes, plus les hommes consomment régulièrement de l’alcool, plus ils ont tendance à en minimiser les conséquences et à écarter le risque pour eux-mêmes.

Cette campagne a pour objectif de faire prendre conscience qu’au-delà des phénomènes de dépendance et d’ivresse, une consommation d’alcool inscrite dans les habitudes de vie peut être excessive et avoir des conséquences sur la santé à long terme : cancers, cirrhose, problèmes cardiovasculaires et digestifs…

Un spot télévisé est diffusé jusqu’au mois d’avril sur le thème « Boire un peu trop tous les jours, c’est mettre sa vie en danger ». Par ailleurs, la campagne oriente le public vers les dispositifs d’information, d’aide et d’orientation pour les consommateurs et leur entourage : le site www.alcoolinfoservice.fr et la ligne écoute alcool au 0 811 91 30 30 (7/7 jours, de 8h à 2h).

Le Cespharm propose une sélection d’affiches et de brochures à remettre au public sur le thème de l’alcool.

Commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

15
mars

La poursuite de la réévaluation des médicaments indiqués dans la prise en charge de la toux chez le nourrisson a conduit l’Afssaps à contre-indiquer, chez l’enfant de moins de 2 ans, les spécialités antihistaminiques H1 de première génération à base de phénothiazines (prométhazine, alimémazine et oxomémazine), chlorphénamine, pimétixène ainsi que le fenspiride, utilisés dans le traitement de la toux.

Cette contre-indication est effective à partir du 15 mars 2011. En conséquence, les résumés des caractéristiques du produit (RCP), les notices et les conditionnements des médicaments concernés ont été modifiés, les spécialités strictement indiquées chez le nourrisson étant retirées du marché.

Les conditions d’utilisation de ces médicaments sont désormais différentes selon l’âge des enfants. Pour rappel, l’Afssaps, en partenariat avec la Société française de pédiatrie et la Société pédiatrique de pneumologie et d’allergologie, a redéfini les modalités de prise en charge de la toux aiguë chez le nourrisson en octobre dernier.

Les pharmaciens sont en première ligne pour informer les parents de ces nouvelles recommandations, des mesures hygiéno-diététiques préconisées et des symptômes nécessitant une consultation médicale.

Pour les y aider, le dépliant "Bébé tousse ?", à remettre aux parents, résume les mesures permettant d’améliorer le confort de l’enfant et les situations qui requièrent un avis médical. Une série de questions-réponses sur la toux du nourrisson est par ailleurs disponible sur le site de l’Afssaps afin de répondre aux principales interrogations des parents.

Commandez des exemplaires du dépliant à remettre aux parents auprès du Cespharm !