Enfant / Nourrisson

Actualités
07
juillet
2014

Les réflexes à adopter face au soleil ? Pour un rappel utile auprès de vos patients, le Cespharm vous accompagne au cours de l'été dans le relais de la campagne de prévention des risques solaires menée par l'Inpes.

Source de vitamine D et de bonne humeur, le soleil n'en est pas moins à l'origine d'une pléiade de méfaits. Afin de limiter les risques d'insolation, de lésions oculaires et de cancers cutanés, un seul mot d'ordre : se protéger des UV !

Pour sensibiliser l'opinion à cette problématique, l'Inpes lance sa campagne annuelle de sensibilisation. Ainsi, tout au long des mois de juillet et août, l'institut rappellera les 4 gestes à respecter pour une protection efficace contre le soleil. L'occasion d'insister sur l'importance de les appliquer durant toute la période estivale, quels que soient l'environnement et l'activité pratiquée. Un déjeuner à la terrasse d'une brasserie, du jardinage ou des promenades à la campagne méritent autant d'attention qu'un moment passé sur une plage. Une vigilance toute particulière doit, en outre, être portée aux enfants dont la peau et les yeux sont plus fragiles que ceux d'un adulte et chez qui la déshydratation peut être rapide et lourde de conséquences.

Pour diffuser au mieux tous ces messages, le dispositif de communication de l'Inpes s'appuie sur le site prevention-soleil.fr ainsi que sur la diffusion de spots radio et de messages télévisés (Météo des plages sur France 2 et France 3). En complément, le Cespharm met à votre disposition l'affiche et la brochure de l'Inpes qui s'adressent à vos patients ainsi que des documents à usage professionnel (dossier et fiche mémo). La brochure "Grain de beauté ou mélanome ? Comment faire la différence" est également proposée. Elle incite le public à surveiller ses grains de beauté et à consulter un médecin au moindre doute.

02
août
2013

En mer, en rivière, en lac ou en piscine… pour se baigner en toute sécurité, quelques mesures de précaution sont à adopter. L’Inpes les rappelle dans la brochure "Mode d’emploi de la baignade".

Entre le 1er juin et le 30 septembre 2012, 1 238 noyades accidentelles ont été recensées, dont 497 sont à l’origine d’un décès [InVS, Enquête NOYADES 2012]. La plupart des noyades impliquant des enfants est due à un manque de surveillance, au fait de ne pas savoir nager ou à une chute. Pour les adultes, ils se produisent principalement suite à un malaise ou à une imprudence.

Pour prévenir les risques de noyade, le respect de quelques règles simples est nécessaire :
- choisir les zones de baignade surveillées et respecter les consignes de sécurité
- prendre en compte sa forme physique et ne pas surestimer son niveau de natation
- prévenir un proche avant de se baigner
- ne pas s'exposer longtemps au soleil et entrer dans l'eau progressivement
- ne pas boire d'alcool avant la baignade

Par ailleurs, une formation aux gestes de premiers secours est nécessaire pour intervenir efficacement en cas d'accident.

Avec les enfants, une surveillance permanente et rapprochée
En tout lieu de baignade, un enfant doit toujours être surveillé par un adulte responsable. Un enfant peut se noyer sans bruit, en moins de trois minutes, dans vingt centimètres d'eau. Afin de minimiser les risques, les équiper de brassards (marquage CE et norme NF 13138-1) et leur apprendre à nager le plus tôt possible.

Pour permettre aux confrères de relayer ces messages de prévention auprès du public, le Cespharm met à leur disposition la brochure "Mode d’emploi de la baignade" et l’affiche "Pour un été en toute sécurité, 3 réflexes simples", éditées par l’Inpes.

29
juillet
2013

L'ANSM édite une brochure sur les risques liés au méthylphénidate, les modalités de surveillance et les règles de bon usage afin d'apporter aux patients et à leur entourage les informations nécessaires avant de démarrer le traitement.

Limitée en France, l'utilisation du méthylphénidate est cependant en constante croissance depuis 10 ans. Il est indiqué dans le cadre de la prise en charge du trouble déficit de l'attention / hyperactivité (TDAH) chez l'enfant de 6 ans et plus, lorsque les mesures correctives psychologiques, éducatives, sociales et familiales seules s'avèrent insuffisantes.

Une surveillance particulière doit être apportée, notamment en cas d'utilisation au long cours, en raison des risques d'effets indésirables neuropsychiatriques, cardiovasculaires et cérébro-vasculaires et du risque de retard de croissance staturo-pondéral chez l'enfant. Les risques de mésusage et de dépendance nécessitent également une surveillance particulière.

Les données de suivi publiées par l'ANSM [Rapport du 17/07/2013] montrent que les mesures de surveillance renforcée des médicaments contenant du méthylphénidate ont permis de limiter les dérives d'utilisation et de confirmer la balance bénéfice/risque positive lors d'une utilisation sur la base d'un diagnostic bien établi et dans le respect des conditions d'utilisation définies par l'AMM.

Les conditions particulières de prescription et de délivrance de ces médicaments stupéfiants sont détaillées sur le site Meddispar et sur le site de l'ANSM.

Rappelons que tout effet indésirable grave ou inattendu doit être déclaré par les professionnels de santé aux centres régionaux de pharmacovigilance.

La brochure "Vous et le traitement du trouble déficit de l'attention / hyperactivité par méthylphénidate" a été conçue par l'ANSM en lien avec les laboratoires et l'association de patients HyperSupers TDAH France. Elle a pour but de rappeler aux patients et à leur entourage les risques liés au méthylphénidate, les modalités de surveillance et les règles de bonne utilisation du médicament.

Commandez la brochure mise à disposition par le Cespharm !

22
juillet
2013

Les températures élevées actuellement observées sur l'ensemble du territoire sont l'occasion de rappeler les mesures à adopter pour prévenir les risques liés aux fortes chaleurs.

Pour les personnes fragiles (notamment personnes âgées de plus de 65 ans, handicapées ou malades à domicile, dépendantes ou en situation de précarité) :
- boire régulièrement et fréquemment de l’eau sans attendre d’avoir soif
- se rafraîchir et se mouiller le corps plusieurs fois par jour
- donner des nouvelles à leurs proches et si nécessaire demander de l’aide
- éviter de sortir aux heures les plus chaudes
- maintenir leur logement à l’abri de la chaleur et passer si possible 2 à 3 heures par jour dans un lieu frais (cinéma, supermarché…)

Pour les enfants et les adultes : boire abondamment de l’eau et rester le moins possible exposés à la chaleur. Il convient d’éviter les efforts physiques intenses.

La plateforme téléphonique « Canicule info service » : 0 800 06 66 66, du ministère chargé de la santé, est ouverte pour répondre à toutes les questions du public (appel gratuit depuis un poste fixe du lundi au samedi de 8h à 20h). La carte de vigilance Météo-France, mise à jour 2 fois par jour, permet de suivre l'évolution de la situation météorologique par département: http://france.meteofrance.com/vigilance/

Pour aider les confrères à relayer les messages auprès du public, le Cespharm propose l’affichette "En période de fortes chaleurs ou de canicule" et le dépliant "La canicule et nous… Comprendre et agir", édités par l’Inpes.

Un dossier complet "Canicule et chaleurs extrêmes" est accessible sur le site du ministère de la santé. Par ailleurs, l’ANSM propose sur son site internet, un dossier "Conditions climatiques extrêmes et produits de santé" comportant une mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur.

18
janvier
2013

Face à la vague de froid qui sévit actuellement en France, le ministère chargé de la santé et l’Inpes rappellent les principales mesures à adopter en période de grand froid.

Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques potentiellement dommageables pour la santé (gelures, hypothermies, déclenchement de crises d’asthme et de crises d’angor, infections broncho-pulmonaires…). Sont particulièrement à risque les nourrissons, les personnes âgées et/ou présentant certaines maladies chroniques (notamment cardiaques, respiratoires ou endocriniennes) et les personnes en situation de précarité.

Quelques précautions permettent de prévenir les risques sanitaires liés au grand froid, parmi lesquelles :
- Bien se couvrir pour sortir, en particulier les extrémités ainsi que le nez et la bouche ; porter de bonnes chaussures pour éviter les chutes,
- Limiter les activités extérieures pour les personnes à risque et les efforts physiques, même pour les personnes en bonne santé,
- Etre particulièrement vigilant aux enfants et nourrissons : éviter l’utilisation d’un porte-bébé susceptible de comprimer les membres inférieurs de l’enfant et d’entraîner des gelures,
- Vérifier le bon fonctionnement des ventilations et des appareils de chauffage afin d’éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone,
- Appeler le "115" (numéro vert de l’urgence sociale) face à une personne sans abri ou en difficulté dans la rue,
- S’informer des éventuelles recommandations locales spécifiques émises par les
préfectures.

Des documents d’information rassemblant les principaux conseils de prévention à adopter et destinés au public sont téléchargeables sur le site du ministère chargé de la santé.

Par ailleurs, l’ANSM propose sur son site internet, un dossier "Grand froid et médicaments" comportant une mise au point sur le bon usage des médicaments en cas d’épisode de grand froid.

28
décembre
2012

La loi interdisant l’utilisation du bisphénol A dans les contenants alimentaires (loi n°2012-1442 du 24 décembre 2012) a été publiée au Journal Officiel le 26 décembre 2012.

Elle étend, à compter du 1er janvier 2013, la suspension de la fabrication, de l’importation, de l’exportation et de la mise sur le marché des biberons à base de bisphénol A (loi n°2010-729 du 30 juin 2010) à l’ensemble des conditionnements, contenants ou ustensiles à usage alimentaire destinés aux nourrissons et enfants en bas âge.

Cette suspension prendra effet, dans les mêmes conditions, au 1er janvier 2015, pour tout autre conditionnement, contenant ou ustensile comportant du bisphénol A et destiné à entrer en contact direct avec des denrées alimentaires.

D’ici là, tout conditionnement à vocation alimentaire contenant du bisphénol A devra comporter un avertissement sanitaire déconseillant son usage aux femmes enceintes, aux femmes allaitantes, aux nourrissons et enfants en bas âge. Les conditions de cette obligation d’information seront fixées par décret.

En outre, la loi étend l’interdiction du bisphénol A aux collerettes de tétines et de sucettes et aux anneaux de dentition (article L.5231-2 du code de la santé publique).

Pour rappel, le bisphénol A est principalement utilisé dans la fabrication de plastique de type polycarbonate et de résines époxydes entrant dans la composition de récipients alimentaires (vaisselle, bouilloires…) et de certains revêtements internes de boites de conserve ou de canettes. Les études scientifiques sur sa toxicité font état d’effets sanitaires avérés chez l’animal et suspectés chez l’homme, notamment des perturbations endocriniennes (rapport de l’ANSES, septembre 2011). Ces effets ont été mis en évidence pour de faibles niveaux d’exposition et particulièrement à certaines époques de la vie : grossesse, périodes pré et postnatales.

17
août
2012

Météo France prévoit, à partir de ce week-end, une forte augmentation des températures dans plusieurs départements. La Direction générale de la santé (DGS) rappelle les recommandations pour prévenir les risques liés aux fortes chaleurs.

Les départements concernés sont actuellement la Haute-Garonne (31), le Gers (32), le Lot (46), le Lot-et-Garonne (47), le Tarn (81) et le Tarn-et-Garonne (82). La vague de chaleur est susceptible de s’étendre progressivement à d’autres départements du Sud-ouest et du centre.

La DGS rappelle les mesures à adopter pour éviter l’apparition de pathologies graves liées à la chaleur.

Les personnes fragiles (notamment personnes âgées de plus de 65 ans, handicapées ou malades à domicile, dépendantes ou en situation de précarité) doivent :
- boire régulièrement et fréquemment de l’eau sans attendre d’avoir soif
- se rafraîchir et se mouiller le corps plusieurs fois par jour
- donner des nouvelles à leurs proches et si nécessaire demander de l’aide
- éviter de sortir aux heures les plus chaudes
- maintenir leur logement à l’abri de la chaleur et passer si possible 2 à 3 heures par jour dans un lieu frais (cinéma, supermarché…)

Les enfants et les adultes doivent boire abondamment de l’eau et rester le moins possible exposés à la chaleur. Il convient d’éviter les efforts physiques intenses.

La plateforme téléphonique "Canicule info service" : 0 800 06 66 66, du ministère chargé de la santé, est ouverte pour répondre à toutes les questions du public (appel gratuit depuis un poste fixe).
Pour aider les confrères à relayer les messages auprès du public, le Cespharm propose l’affichette
"En période de fortes chaleurs ou de canicule" et le dépliant "La canicule et nous… Comprendre et agir", édités par l’Inpes.

Un dossier complet "Canicule et chaleurs extrêmes" est accessible sur le site du ministère de la santé. Par ailleurs, l’ANSM (anciennement Afssaps) propose sur son site internet, un dossier "Canicule et produits de santé" comportant une mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur.