Bon usage du médicament

Dans le contexte du déconfinement, la collecte des Médicaments Non Utilisés (MNU) en pharmacie peut se poursuivre. Pour informer et sensibiliser les patients, le Cespharm met à votre disposition de nouveaux outils élaborés par Cyclamed.

L’épidémie de Covid-19 et le confinement inquiètent et interrogent nombre de patients, en particulier ceux atteints de maladies chroniques. Poursuite des traitements, consultations médicales, suivi et auto-surveillance… Pour répondre à ces questions, les autorités de santé et de nombreuses sociétés savantes ​émettent des recommandations et proposent des outils pratiques. En voici quelques exemples.​

La période actuelle s’accompagne d’un risque accru d’exposition aux surdoses pour les usagers d’opioïdes, qu’il s’agisse d’une utilisation médicamenteuse ou de consommation de drogues illicites. Dans ce contexte, la plus grande vigilance et un renforcement de l’accès à la naloxone sont requis pour les personnes potentiellement à risque.

Afin de sécuriser l’utilisation des vasoconstricteurs par voie orale, l’ANSM a récemment publié une fiche d’aide à la dispensation pour les pharmaciens et un document d’information pour les patients. Ces documents sont à votre disposition en téléchargement sur le site du Cespharm, en complément des exemplaires papier en cours de distribution dans les officines par les laboratoires concernés.

Comme chaque année, la liste des interdictions dans le cadre de pratiques ou de compétitions sportives a été actualisée par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA). Retour sur les nouveautés de cette version 2020 et sur les outils pratiques, mis à disposition par le Cespharm, pour vous accompagner dans la prévention du dopage.

En cette période de grands départs en vacances, il est important de rappeler les règles de bon usage des médicaments pour la sécurité sur la route. Pour vous y aider, le Cespharm vous propose plusieurs outils relayant les messages élaborés conjointement par la Délégation à la sécurité et à la circulation routières (DSCR), la Direction générale de la Santé (DGS) et l’Ordre des pharmaciens.

Informer les moins de 30 ans sur la contraception d’urgence est une nécessité. Une récente étude de Santé publique France* révèle en effet une méconnaissance d’éléments importants (délai d’utilisation, risques) au sein de cette tranche d’âge. Dans ce contexte, le ministère chargé de la Santé et Santé publique France lancent une campagne d’information jusqu’au 21 juillet.

La prescription de deux médicaments pour le traitement de l’hépatite C chronique est désormais ouverte à l’ensemble des médecins - notamment aux médecins généralistes - comme prévu par le Plan priorité prévention.