Actualités
01
mars
2013

Durant tout le mois de mars, l’INCa renouvelle sa campagne d’information et de sensibilisation au dépistage organisé du cancer colorectal.

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent en France et le deuxième en termes de mortalité. Et pourtant, diagnostiqué tôt, ce cancer peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Dans le cadre du programme national organisé par les pouvoirs publics, les hommes et les femmes de 50 à 74 ans sont invités, tous les 2 ans, à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant. 17 millions de personnes sont ainsi ciblées.

Si ce dépistage est assez bien identifié dans la population concernée, une enquête récente montre que les français sous-estiment la fréquence et la mortalité du cancer colorectal et connaissent insuffisamment les bénéfices d’une détection précoce [Enquête INCa/BVA, janvier 2013].

La campagne lancée par l’INCa vise à faire prendre conscience de l’intérêt d’un dépistage précoce du cancer colorectal. L’objectif est également de favoriser le passage à l’acte, en dédramatisant la réalisation de ce dépistage autour d’un message simple et concret : "Le meilleur endroit pour faire le test, c’est chez soi".

Une large diffusion de ce message est prévue dans les médias (TV, radio, presse, Internet). Un film d’animation pédagogique est disponible sur le site de l’INCa afin de faire comprendre l’intérêt du dépistage organisé et d’en préciser les modalités. Une affichette, une brochure et une carte postale à remettre au public complètent notamment ce dispositif de communication.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

26
septembre
2012

Le mois d’octobre est une nouvelle fois l’occasion de mobiliser les femmes autour du dépistage organisé du cancer du sein. Le Cespharm s’associe à l’Institut national du cancer (Inca) pour relayer la campagne auprès des pharmaciens.

Le dépistage organisé permet aux femmes de 50 à 74 ans de bénéficier tous les deux ans d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec "double lecture" (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

Cette année, la campagne de sensibilisation lancée par l’Inca :

- rappelle l’enjeu de santé publique que constitue ce dépistage. 53 000 femmes développent un cancer du sein chaque année et ce cancer est responsable d’environ 11 500 décès par an (Inca, 2011).

- s’adresse concrètement aux femmes concernées en leur proposant de vérifier de quand date leur dernière mammographie. Le message concerne plus particulièrement les femmes qui ne font pas de mammographie assez régulièrement. De façon indirecte, il interpelle également les femmes qui n’en font jamais, sans les culpabiliser.

Pendant tout le mois d’octobre, des actions spécifiques sont prévues en direction des professionnels de santé et des acteurs concernés.
Outre la mobilisation des animateurs de France Télévisions, des émissions spécifiques seront diffusées sur les radios communautaires et une application Facebook permettra aux internautes d’inviter les femmes qui leur sont proches à s’informer sur le dépistage du cancer du sein.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à votre disposition par le Cespharm !

10
mai
2012

Le syndicat national des dermatologues vénéréologues (SNDV) organise, le 24 mai prochain, la 14ème journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau. Des centres de dépistage anonyme et gratuit seront ouverts au public partout en France.

L’objectif de cette manifestation, soutenue par l’INCa, est de sensibiliser la population aux cancers de la peau et d’informer sur la nécessité d’un dépistage précoce. Elle permet de rappeler les risques liés au soleil et aux UV artificiels.

L’incidence des cancers de la peau est en forte augmentation en France. Avec 70 000 nouveaux cas estimés chaque année, les carcinomes cutanés figurent parmi les cancers les plus fréquents. Le mélanome, plus rare (9 780 nouveaux cas en 2011), est le plus grave en raison de sa grande capacité à métastaser. Or, dépisté à un stade précoce, le mélanome est de bon pronostic.

Durant la journée du 24 mai, des dermatologues se mobiliseront sur l’ensemble du territoire pour proposer un dépistage anonyme et gratuit. La liste des centres de dépistage est disponible :
- sur le site
www.dermatos.fr
- par téléphone au 3015 (numéro vert, appel gratuit depuis un poste fixe)

Par ailleurs, une application gratuite pour smartphones "Soleil Risk" a été développée avec Météo France pour donner les indices UV locaux et des conseils de prévention adaptés. Une communication est également prévue sur les réseaux sociaux.

Participez à cette manifestation et commandez les documents mis à disposition par le Cespharm !

08
juin
2011

Durant tout le mois de juin, le Cespharm s’associe à l’Institut national du Cancer (Inca) pour mobiliser les pharmaciens à la prévention et au dépistage du cancer du col de l’utérus.

Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche plus de 2 800 femmes et provoque près de 1 000 décès. L’extension du dépistage par frottis cervico-utérin a permis de faire diminuer l’incidence et la mortalité de ce cancer depuis une trentaine d’années.

Parallèlement, la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) permet de prévenir l’infection par les sérotypes 16 et 18, responsables d’environ 70% des cancers du col de l’utérus. Du fait de cette protection partielle, le dépistage par frottis reste indispensable même chez les femmes vaccinées.

La Haute Autorité de santé recommande un dépistage par frottis tous les 3 ans après deux frottis annuels ne révélant pas d’anomalie, pour toutes les femmes de 25 à 65 ans, vaccinées ou non.

En France, le dépistage du cancer du col de l’utérus est majoritairement individuel et repose sur l’initiative des professionnels de santé. Or actuellement, près de la moitié des femmes ne bénéficient pas de ce dépistage à un rythme optimal. Sont particulièrement concernées :
▪ les femmes de plus de 50 ans
▪ certaines femmes en situation sociale difficile, notamment les bénéficiaires de la CMUc

Les pharmaciens, professionnels de santé de proximité, jouent un rôle majeur pour sensibiliser les femmes à l'importance d'un dépistage régulier du cancer du col de l'utérus.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

03
mai
2011

La Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau, organisée par le Syndicat national des dermatologues et vénéréologues (SNDV), aura lieu le jeudi 19 mai prochain.

L’objectif de cette opération, placée sous le haut patronage du Ministère chargé de la santé et soutenue par l’INCa, est d’alerter et d’informer le public sur la nécessité d’un dépistage précoce des cancers cutanés.

Parmi les cancers de la peau, le mélanome est le plus grave en raison de sa grande capacité à métastaser. Le dépistage précoce permet aux patients de bénéficier d’un traitement plus léger et d’un meilleur pronostic.

Le 19 mai, des dermatologues proposeront dans toute la France un dépistage anonyme et gratuit dans des centres dédiés dont la liste est disponible sur le site www.syndicatdematos.org ou par téléphone au 3015.

Cette manifestation est également l’occasion de rappeler que la prévention primaire des cancers de la peau passe principalement par la protection contre les UV.

Pour promouvoir cette journée de dépistage, le SNDV et ses partenaires éditent une affiche. Une application i-phone "soleilrisk", téléchargeable gratuitement, permettra d’obtenir les indices UV locaux, grâce à un partenariat avec Météo France, accompagnés des conseils de prévention adaptés et proposera les coordonnées des centres de dépistage. Une sélection d’outils destinés au public et à usage professionnel est également disponible auprès du Cespharm.

Par ailleurs, l’INCa propose sur son site Internet un module de formation multimédia destiné aux professionnels de santé sur la détection précoce des cancers de la peau.

Participez à cette manifestation et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !

01
février
2011

Le Cespharm s’associe à l’Institut national du cancer (INCa) pour sensibiliser le public et les professionnels de santé au dépistage précoce des cancers de la cavité buccale.

En France, on estime à 7 500 le nombre de nouveaux cas de cancers de la cavité buccale chaque année et à 1 875 le nombre de décès qui leur sont imputables (données 2005). Près de 90 % de ces cancers sont liés au tabac et à l’alcool. Leur action synergique peut multiplier le risque de survenue de ces cancers jusqu’à 45 fois.

A l’heure actuelle, en France, 70% de ces cancers sont diagnostiqués à un stade avancé. Or, des symptômes précoces de la maladie existent et sont fréquemment traités de façon inefficace pendant plusieurs semaines par des bains de bouche. Toute lésion de la cavité buccale ne guérissant pas après 10 jours de traitement doit conduire le patient à consulter rapidement.

Acteur de santé de proximité, le pharmacien a un rôle essentiel de conseil et d’orientation dans ce domaine. Pour aider les confrères à promouvoir ainsi le dépistage précoce de ces cancers, une fiche mémo a été spécifiquement conçue à leur attention. Une affiche et une brochure destinée au public sont également disponibles auprès du Cespharm.

Par ailleurs, l’INCa propose sur son site Internet un module de formation multimédia à la détection précoce des cancers buccaux initialement conçu pour les chirurgiens-dentistes.

Participez à cette campagne et commandez les outils mis à disposition par le Cespharm !