Cancer
"Un geste simple peut vous sauver la vie", telle est la signature de la nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer colorectal menée par l’Institut national du cancer (INCa) pendant tout le mois de novembre.
Avec 42150 nouveaux cas et 17700 décès estimés en 2012 en France, le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent et le deuxième cancer le plus meurtrier. Pourtant, détecté à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.
La campagne de l’INCa s’adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans ciblées par le dépistage organisé. L’objectif est de les sensibiliser à l’importance de se faire dépister tous les 2 ans contre ce cancer et de les informer sur les avantages du test immunologique. Pour rappel, les personnes concernées sont invitées tous les 2 ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant et pris en charge à 100%.
Le remplacement du test Hémoccult par le test immunologique de détection de sang occulte dans les selles est effectif depuis le mois de mai. Ce nouveau test est plus fiable et plus performant : il permet de détecter environ 2 fois plus de cancers colorectaux et 2,5 fois plus d’adénomes avancés. Plus simple d’utilisation, il ne nécessite qu’un seul prélèvement de selles contre six auparavant.
A l’occasion de cette campagne, le Cespharm met à votre disposition une affiche ainsi que deux documents à remettre aux personnes âgées de 50 à 74 ans (carte postale, dépliant d’information présentant les avantages du nouveau test de dépistage ainsi que l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).
L’Institut national du cancer (INCa) vient de publier des recommandations pratiques sur la prévention et la gestion des effets indésirables des anticancéreux per os utilisés en hématologie, destinées notamment aux professionnels de santé de ville.
L’objectif est de les aider à gérer plus efficacement les toxicités les moins graves liées à ces traitements, à éviter le recours à certaines hospitalisations et à orienter rapidement les patients nécessitant une prise en charge spécialisée en cas de toxicités plus importantes.
Ces recommandations concernent les traitements de cancers hématologiques (en particulier la leucémie myéloïde chronique et le myélome multiple) :
- les inhibiteurs de tyrosine kinase ciblant BCR-ABL (imatinib-Glivec, dasatinib-Sprycel, nilotinib-Tasigna, bosutinib-Bosulif, ponatinib-Iclusig) ou JAK (ruxolitinib-Jakavi) ;
- les immunomodulateurs (thalidomide, lénalidomide-Revlimid, pomalidomide-Imnovid).
Elles proposent notamment les mesures à mettre en œuvre pour prévenir certains de leurs effets indésirables, les modalités de leur détection précoce et les conduites à tenir en cas de toxicité avérée.
Elles sont disponibles sur le site de l’INCa sous la forme de deux documents interactifs. Seront prochainement mises à disposition des fiches pratiques récapitulant par molécule les modalités de prévention, de suivi et de gestion des effets secondaires.
D’autres recommandations sont d’ores et déjà prévues. Elles porteront sur la prévention et la gestion des effets indésirables des chimiothérapies orales utilisées dans le traitement des tumeurs solides (poumon, peau, rein, prostate, sein, système digestif).
L’Institut national du cancer (INCa) mène une campagne d’information sur la prévention des cancers évitables. Son objectif ? Aider chacun à faire le point sur ses risques de développer un cancer et lui donner les moyens d’agir pour les réduire.
Selon le Baromètre cancer 2010, plus de 1 personne sur 2 pense que "le cancer, c’est souvent héréditaire" et 1 personne sur 3 estime "qu’on ne peut rien faire pour éviter le cancer". En réalité, les facteurs génétiques héréditaires représentent moins de 10 % des causes de cancer. En revanche, les facteurs de risque évitables, liés aux modes de vie et aux comportements (tels le tabagisme, la consommation d’alcool, l’obésité et la sédentarité), sont responsables de 40 % des cancers. Impliqué dans 17 localisations cancéreuses différentes, le tabac est le premier facteur de risque évitable, loin devant tous les autres facteurs. Viennent ensuite, à part égale, l’alcool et une alimentation déséquilibrée.
Face à ce constat, la campagne de l’INCa vise à informer le public sur l’importance relative des 9 principaux facteurs de risque évitables de cancers. A cette occasion, chacun est invité à identifier ses propres facteurs de risque grâce à un test simple et rapide, à compléter en ligne sur le site de l’INCa. Des conseils de prévention adaptés seront, si besoin, proposés.
Par ailleurs, l’INCa met à disposition sur son site une brochure intitulée "Nutrition et cancers" destinée au public. Cet outil fait le point sur l’état actuel des connaissances en matière de facteurs de risque et de protection liés à la nutrition. Il est disponible, pour l’instant, uniquement en téléchargement. Un document d’information professionnelle portant sur cette thématique peut également être consulté sur le site de l’INCa.
A l’occasion du passage au test immunologique, l’Institut national du cancer (INCa) lance une nouvelle campagne d’information sur le dépistage organisé du cancer colorectal. Partenaire de cette action, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils destinés aux personnes âgées de 50 à 74 ans concernées par ce dépistage.
La campagne lancée par l’INCa a pour objectif d’informer le public de l’arrivée du test immunologique de détection de sang occulte dans les selles et de ses bénéfices. Ce nouveau test, disponible à compter du mois de mai dans les cabinets médicaux, est plus fiable et plus performant que le test Hémoccult II : il permet de détecter environ 2 fois plus de cancers colorectaux et 2,5 fois plus d’adénomes avancés. Plus simple d’utilisation, il ne nécessite qu’un seul prélèvement de selles contre six auparavant.
Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé du cancer colorectal, les hommes et les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invités tous les deux ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant et pris en charge à 100 %.
Pour vous aider à relayer cette manifestation, le Cespharm vous propose l’affiche de la campagne ainsi que deux documents à remettre au public (carte postale, dépliant d’information présentant les avantages du nouveau test de dépistage ainsi que l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).
Du 29 mars au 4 avril, le don de moelle osseuse sera mis à l'honneur par l'Agence de la biomédecine au cours d'une Semaine consacrée à la cause. Les 28 et 29 mars, c'est de la leucémie dont il sera question dans le cadre de Journées organisées par un large collectif associatif. Choisirez-vous d'en parler ?
Le chiffre de 240 000 donneurs est proche d'être atteint sur le Registre France greffe de moelle. Au cours de la Semaine nationale de mobilisation pour le don de moelle osseuse, l'Agence de la biomédecine se mobilise pour :
- faire connaître ce don ;
- recruter de nouveaux donneurs, chaque nouvel inscrit augmentant les chances de compatibilité et donc de guérison pour les malades ;
- remercier, au nom des malades, les donneurs déjà inscrits sur le registre (baptisés "Veilleurs de vie").
Ainsi, entre le 29 mars et le 4 avril, trois bus aux couleurs de l'événement sillonneront la France. Ils s'arrêteront tour à tour sur les places publiques de 21 villes et proposeront notamment des stands d'information, des espaces d'échanges et des bornes interactives permettant d'éventuelles pré-inscriptions sur le registre. Pour communiquer sur cet événement et informer vos patients sur le don de moelle osseuse, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure.
Le week-end des 28 et 29 mars, c'est la deuxième édition des Journées nationales contre la leucémie qui prendra place dans l'Hexagone. Co-fondée en 2014 par les associations Laurette Fugain et Cent pour sang la vie, cette manifestation est le fruit du travail d'un large collectif d'associations, toutes unies autour d'une même cause. Elle a pour but de financer la recherche médicale sur les leucémies en récoltant des fonds auprès du public. Ainsi, des quêtes sont organisées dans une ambiance gaie et positive, au sein de 80 villes. Si vous souhaitez vous impliquer dans cette action, des affiches, dépliants, tirelires et bandeaux à intégrer sur vos sites web sont disponibles, sur demande, auprès de ronanjaffre@laurettefugain.org
L’Institut national du cancer (INCa) mène une nouvelle campagne visant à sensibiliser les femmes âgées de 25 à 65 ans à l’importance de se faire dépister régulièrement contre le cancer du col de l’utérus. Partenaire de cette action, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils pour relayer les messages auprès des femmes concernées.
Cette année, la campagne de l’INCa s’adresse tout particulièrement aux femmes ayant le moins recours à ce dépistage : femmes âgées de 25 à 30 ans ou de plus de 50 ans, femmes en situation sociale difficile, femmes résidant dans les départements d’Outre-mer. A cette occasion, les recommandations de la Haute autorité de santé sont rappelées : un dépistage par frottis cervico-utérin est recommandé tous les 3 ans, après 2 frottis annuels normaux, pour toutes les femmes de 25 à 65 ans, et ce même en l’absence de rapports sexuels et après la ménopause.
Un important dispositif de communication est mis en place à l’attention des femmes ciblées : campagne presse et sur Facebook, diffusion de spots radio en métropole et dans les DOM, distribution de nouveaux documents d’information, …
Pour vous aider à relayer cette manifestation, le Cespharm vous propose une sélection d’affichettes (disponibles en version française et multilingue) ainsi qu’un dépliant d’information sur le frottis de dépistage à remettre aux femmes concernées. Un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention du cancer du col de l’utérus est également mis à votre disposition.